Traduction | Hurlement à la lune de Sakutaro Hagiwara (1917)

Visage malade sur le fond du sol

La visage apparaissait sur le fond du sol,
La visage solitaire du malade apparaissait.

Au noir sur le fond du sol,
Tiges maigres des herbes poussaient,
Un terrier des rats se formait,
Des cheveux nombreux ses emmêlaient au terrier,
Elles commençaient à trembler,
Dans le temps du solstice d’hiver,
De le sol triste malade,
Une racine du bambou jeune poussait,
Poussait,
Elle paraitrait très pitié dure,
Et paraitrait comme elle fumerait,
Vraiment, vraiment, elle paraitrait très pitié dure.

Au noir sur le fond du sol,
La visage solitaire du malade apparaissait.

Tiges des herbes

Par le froid d’hiver,
Était enveloppée des duvets minces,
Regardez une tige d’herbe,
La tige jeune était solitaire,
Mais la surface partout était enveloppée des duvets fines,
Regardez une tige d’herbe.
Des nages ses enivraient à la lointain du ciel,
Tiges des herbes ses enflammaient.

Bambou

Une chose droite poussait sur le terre,
Une chose bleue perçante poussait sur le terre,
Transperçait l’hiver glacial,
Sur l’espace au matin ces feuilles vertes éclairaient,
Des larmes tombaient,
Des larmes tombaient,
Maintenant sur les épaules qui faisait une confession,
Racine brumeuse s’étendrait,
Une chose bleue perçante poussait sur le terre.

Bambou

Un bambou poussait sur le terre éclat,
Le bambou vert poussait,
Sous la terre, la racine du bambou poussait,
La racine s’amicirait,
Des duvets poussaient Des bouts du racine,
Tremblaient légèrement.

Sur la terre ferme, le bambou poussait,
Le haut de la terre, le bambou poussait durement,
Tout droit, le bambou poussait,
Aux nœuds froids drelin-drelin,
Sous le ciel bleu, le bambou poussait,
Bambou, bambou, bambou poussait.

_ _ _ Regardez toutes les punitions étaient échappées,
_ _ _ Cependant le tout n’était pas à moi,
_ _ _ Vraiment on apparaissais à moi,
_ _ _ Était une hallucination du feu bleu sans ombre seule,
_ _ _ Un fantôme mélancolie s’effaçait au-dessus les nuages seul,
_ _ _ Je ne faisais rien, la confession sentimentale ou quelque chose,
_ _ _ Tout était la hallucination du feu bleu.

Chrysanthème en décomposition

Un chrysanthème était en décomposition,
Ce chrysanthème était gâté et flétri,
C’est triste que gelée tombait,
Mes mains du platine touchaient,
Mes doigts tendraient,
De plus je voulais pincer le chrysanthème,
Bien plus je ne voulais pas lui cueillir,
L’autre côté du ciel éclatant,
Le chrysanthème était maladie,
Le chrysanthème en décomposition était gâté encore.

Une tortue

Il y avait un bois,
Il y avait un marais,
Il y avait un ciel bleu,
Je sentais le poids des mains des hommes,
Une tortue d’or pur dormait silencieux,
Il brillait,
Il endurait la douleur solitaire de la nature,
Il entrerait dans l’esprit humain,
La tortue s’enfonçait dans la profondeur du ciel.

La flûte

En levant les yeux, un pin haut et mettait aux ses branches et jouait une harpe,
Mettait du rouge aux doigts,
Tenait et pinçait l’harpe,
Ah, un passage des tons était se étaient écrasée,
La flûte pitoyable était dans le ciel,
Elle brillait plus en plus dans ce nuit de gelée,
Éclairait des branches de pin,
Au sentiment de qui était triste,
L’aspect de la confession apparaît.

La flûte pitoyable était dans le ciel.

L’hiver

Il apparaissait un signe du péché et l’accusation,
Apparaissait sur le neige s’accumulait,
Paraissait et brillait dans des branches des bois,
Comme il éclairait qui aura passé à l’hiver,
Le signe dont je commettrait péchés qui apparaissait tout autour.

Regardez qui endormait,
L’être vivant bâtissait,
Une maison de la confession.

Pendaison sur le ciel

Une feuille du pin luisait au nuit lointain,
Les larmes de la confession coulaient,
Des gelées étaient blanches au nuit lointain,
Je se pendrais à le pin sur ciel,
Je était ployé et je se pendrais.

Les œufs

Ils étaient sur des branches très hautes,
Les petites œufs brillaient,
Je regardais un nid des oisillons brillait,
Le moment était le temps que des pécheurs priaient.

Liste des traductions de la poésie
(Français, English, Español, Italiano, Deutsch)

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Traduction | La porte du paganisme de Hakushu Kitahara (1909)

L’inscription de la porte du paganisme

Je vais à la groupe des tourments,
Je vais au jardin du plaisir sensuel,
Je vais au amer sommeil du démon nerveux.

Le sommeil du démon

Morceau secret de la porte du paganisme

Je pense, le paganisme de la fin siècle, la magie du Christianisme ou Zeus.
Le capitane du bateau noir, les états étranges des hommes cheveux rouges,
La verre rouge, l’Œillet commun senti fortement,
La raie de Saint Thomas, les alcools d’arak et vin rouge.

Les dominicains des yeux bleus dansaient et parlaient en rêvant,
Dieu du paganisme défendu, ou encore, une croix saignant,
Une vaisselle imitée regardait des minuscules pavot comme une pomme,
Des lunettes élastique regardaient le ciel de Paraiso à la dérobée.

Liste des traductions de la poésie
(Français, English, Español, Italiano, Deutsch)

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Traduction | Printemps et asura, Tome I de Kenji Miyazawa (1924)

Préface

Le phénomène comme moi est
De la lampe électrique alternative organique
Une illumination bleue
_ (Complexe des toutes sortes de fantômes transparents)
Avec paysages et tout le monde
En clignotant agité
Comme certainement elle continue à s’allumer
De la lampe électrique alternative de la causalité
Une illumination bleue
_ (La lumière maintient, cette lampe s’étend)

Ils sont des vingt-deux mois
De la direction comme le passé dont je sens
Je inscris papiers et encre
_ (Le tout clignote avec moi
_ Une chose que tout le monde sens simultanément)
Par maintenant en étant gardée
Une des chaînes de l’alternance du clair-obscur
C’est les croquis de mon paysage intérieur

Sur ces choses, le gens, la voie lactée, l’asura et l’oursin
Mangent poussières cosmiques, et ses reprirent l’air et l’eau salée
Chaque théorie essentiel frais que je penserai
Mais, chacun est une scène du cœuer enfin
En tout cas seulement ces paysages sont mémorisés
Qui sont ces paysages sont mémorisés telles quelles
Si ils sont des néant, ils sont néant c’est vrai
Je pense nous pouvons lui posséder en copropriété à un certain degré

(Comme le tout est tout le monde dans moi
C’est tout dans chacun tout le monde)

Cependant, de l’Holocène
Cette accumulation du temps vast et éclair
Ses mots doivent refléter correctement
Également que un point du clair-obscur
_ (Ou milliards d’années de l’asura)
A déjà changé sa composition et sa qualité
Aussi à moi et a l’imprimerie
Il y a une tendance que
Nous sentons il n’est pas changé
Probablement nous sentons nos organes des sens
Puis sentons croyons aux paysages et aux personnes
Ainsi comme croire ensemble seulement
Ce qu’on appelle memoire et l’histoire, et l’histoire de la terre
Avec ses quelques documents (données)
(Sur la base de la fatalité de la restriction de temps-espace)
Ils sont les choses seules dont nous croyons
Probablement quand on passe deux mille ans
La géologie différente appropriée sera engagée
Aussi les preuve appropriées apparaîtront successivement par le passé
Nous pensons à deux mille ans passé
Il y a un paon incolore plein dans le ciel bleu
Des licenciés de vigueur sont le plus haut couche d’aire
Autour l’azote de glace brillante
On peut fouiller des fossiles charmantes
Ou sur la surface du lit du grès du Crétacé
On peut découvrir
Pas de pied vastes transparents de l’humanité
Toutes propositions ci-dessus
Comme la caractéristique elle-même de la paysage intérieur et du temps
Elle proclame dans le quatrième prolongement

L’indice de réfraction

Un ceci du Nanatsumori est
Plus clair dans l’eau
Et très grand mais
Je marche sur une rue gelé et inégale
Marche sur cette neige inégale
Le nuage de zinc qui se frise
Comme un facteur du courrier sombre
_ (Encore Aladin, prend une lampe)
Il faut que je me dépêche?

Neige du Mont Kurakake

Une chose ce qui peux être marque
Est la neige de la Chaîne du Mont Kurakake seul
La prairie et le bois
Sont vagues et sombres
Je ne peux pas compter sur eux
Comme une levure vraiment
Une tempête vide mais
J’envoie mon espoir faible
À neige du Mont Kurakake seulement

Éblouissement du monticule

Chaque morceau en brillant
Ainsi la neige aura sombré
Indigo de l’ombre d’un poteau télégraphique et
La réverbération du monticule éblouissant

_ _ Le bord du imperméable d’un voyageur
_ _ A été abîmé durement
_ _ Qui est pareil que années de 1810
_ _ L’édition de Sanokichi

L’extrémité de ce prairie est bout de monde de Sibérie
Le joint de turquoise reluit
_ _ (Le soleil
_ _ feu blanc au loin de ciel
_ _ brûle beaucoup)

Le neige sur un bambou nain
Flambe à tomber, flambe à tomber

Le voleur

Au lever du jour de la constellation blême
Traverser réflexions irrégulières de boue était gélée
Elle a posé avant le magasin
L’homme volait cette cruche céladon
Soudainement Il s’arrêtait à marcher par leurs jambes noires et longues
Deux mains mettaient à deux oreilles
Qui écoutait une boîte à musique des fils électriques

Printemps et asura (mental sketch modified)

De la couleur d’acier gris, l’image
Vrilles d’akebia quinata s’enroulaient autour des nuages
Broussailles des champs et terrains humides des terreaux
Partout, partout il y a un aspect d’un Ciel faux
_ _ (Il était touffu plus que l’orchestre de chambre
_ _ Quand fragments de l’ambre varsaient)
Une amertume et un bleu de la colère
Le fond de lumière de l’atmosphère de l’avril
Je crachais, et me répétais grincer des dents
Je suis un asura
_ _ (Paysage ballottais par larmes)
Des nuages qui se cassait limitaient la visibilité
_ La mer du ciel comme la émeraude
_ _ Le vent de saint cristal allait et venait
_ _ _ ZYPRESSEN une ligne du printemps
_ _ _ _ Qui aspirait étrangement et étrangement l’éther
_ _ _ _ _ De son rang noir des jambes
_ _ _ _ _ _ Éclaircissait au côté du nuage sur montagne de ciel
_ _ _ _ _ _ _ (Vagues de mirage et polarisation blanche)
_ _ _ _ _ _ Mots vraies étaient perdu
_ _ _ _ _ Nuages ses déchiraient et volaient sur le ciel
_ _ _ _ Ah, le fond de l’avril brillant
_ _ _ Je en me répétais grincer des dents, allait et venait
_ _ Je suis un asura
_ _ _ _ (Nuages de calcédoine coulaient
_ _ _ _ Un oiseau de ce printemps chantais je ne sais où)
_ _ L’anneau de soleil était bleue et s’estompait
_ _ _ Asura résonnait avec un bois
_ _ _ _ _ Du bol du ciel qui se trouvait
_ _ _ _ _ Un rassemblement des arbres noires croissant
_ _ _ _ _ _ Ces branches deviennent touffues
_ _ _ _ _ Tout paysage double
_ _ _ _ _ Des cimes de la forêt du dieu de deuil
_ _ _ _ Un corbeau volait en battre des ailes
_ _ _ _ _ (L’atmosphère devenait claire de plus en plus
_ _ _ _ _ Quand cyprès se dressait sur le ciel)
Une chose qui passait sur l’or de la plaine
Une chose de forme de l’humain sans mystère
Un paysan qui habitait un imperméable me regardait
Est-ce qu’il regardait vraiment
Au fond de la mer de l’atmosphère brillante
_ _ (Tristesse est dure bleue et bleue)
ZYPRESSEN ballotait en silence
L’oiseau montait sur le ciel bleu encore
_ _ (Il y a pas de mot vrai
_ _ Larmes d’asura tombait sur le sol)

Je reprendrait souffle de nouveau
Le poumon un blanc se réduirait
_ _ (Éparpille mon corps en mille pièces du ciel)
L’écho des ginkgo brillait encore
ZYPRESSEN qui deviennent noir plus en plus
Une étincelles de la nuage versaient

Naissance du jour

Neige ondulée
Était versée jus d’une pêche
La lune restait à se fondre en le ciel bleu
Ronronnait tendrement au ciel
Avalait lumière qui s’éparpillant encore une fois

Signal du nuage

C’est bien, je me sens refraîchi
Le vent souffle aussi
Outils agricoles requirent brillants
La montagne, vaguement
Le cou de roche, et le cloche de roche
Touts rêvent quand qu’il y a pas de temps
_ _ _ Le signal du nuage de ce temps
_ _ _ De ascèse pâle
_ _ _ Traverserait haut à l’est
La montagne, vaguement
Sur cyprès huge sûrement
L’oie sauvage montra cette nuit aussi

Le paysage

Nuages étaient l’acide carboxylique n’est pas confiance
Fleurs de cerisier ses épanouirent et sont éclatés par le soleil
Encore le vent venait et soufflait sur le cerisier
L’arbre d’aralia elata est coupé qui tremblait
_ _ …… À l’instant on saupoudrait l’engrais à sabre et sol
_ _ _ _ Maintenant, une maquette une verre de cobalt……
Les dumdums des alouettes inconstantes
Partiraient au ciel tout d’un coup
_ _ Le vent souffle Tsukumogami
_ _ Ébranlait les herbes d’or
Nuages étaient l’acide carboxylique n’est pas confiance
Le cerisier éclairait blanc par le soleil

Repos

Cette espace splendide
À la partie supérieure, les renoncules fleurissaient
_ _ (C’est le butter-cup de bonne qualité, mais
_ _ C’était plus le soufre et le miel que le beurre)
Il y avait des le sagina et le céleri au-dessous
Les libellules du fer-blanc planeraient
Le pluie bruyait en crépiter
_ _ (C’est bon que il n’y avait pas de brouillard, il n’y avait pas
_ _ En plus il n’y avait l’arbre de Elaeagnus)
Je me lançais mon corps aux herbes
Et il y avait une partie blanche et noire des nuages
Toutes les choses jaillissent en brillant
Je lançait mon chapeau, et ce chapeau noir comme le champignon
Il se carrait et sa tête se dirigeait vers l’autre côté de la banque
Je bâillait
Ensuite un démon paraissait, venait et laissait
_ _ Cette herbe séchée étaient doux
_ _ Elle devenait un coussin excellent déjà
Toutes nuages étaient arrachées
Le ciel bleu devinerait des grands mailles d’un filet
Ils sont une plaque du minéral qui brisaient du fond
_ _ Acrocephalidae volaient sans cesse
_ _ La sécheresse brûlait en crépitant

Le solvant à vide (Eine Phantasie im Morgen)

Le cuivre fondu n’est étincelait jamais
Lames blanches ne s’allumait pas
L’horizon du colour cuivre bleu seul
Deviendrait claire et sombre
La moitié se fondrait et stagnait
Ballotait depuis très passé
Je traversait la rue de la noix de ginkgo
Nouvelle et dure
Une brache horizontale de l’arbre
Un jaune homme du verre
Changeait à un triangle à peu près
Qui était suspendu en transparaissant le ciel
Cependant sûrs, on n’était pas
De chose mystère autant
Mais je sifflerait
Et marchais à grands pas seulement
Toutes arbres de ginkgo song bleu
Elles étaient très lucides et argumentaient
Par maintenant, ces sont la paysage d’une bouteille d’alcool
Les nuages éclatantes blanches étaient coupées un peu partout
Ce bleu de la mer éternel-là en partie apparaissait
Encore l’odeur des concombres de ciel frais
Mais je trop balançais le canne
Tellement immédiatement les arbres disparaissaient
La gazon étincelante s’entendrait
Parce que, la rue de la noix de ginkgo
Reculait en derrière deux kilomètre
Dans une raie de vert-de-gris du plaine
On fait l’entrainement militaire au matin
Le plaisir du matin me venait peu à peu
Alouettes de la glace chantaient aussi
Ces oreilles transparents et belles
Même, sur tout le ciel
Avaient une vaste influence
C’est-à-dire, les nuages ses fondraient graduellement dans le ciel de vide bleu
Enfin, maintenant
Des boulettes étaient mis de la paraffine en boule ronde et ronde
Flottaient silencieusement
L’horizon ballottait souvent
Là-bas un gentilhomme gris avec le nez rouge
Menait un chien blanc égal au cheval en hauteur
Qui marchait est très évident
_ _ (Hé, bonjour)
_ _ (Oui, il fait beau)
_ _ (Vous vous promenadez où?
_ _ D’accord, euh euh, mais hier
_ _ M. Sonnental paraissait décéder
_ _ Est-ce que vous savez?)
_ _ (Non, entièrement
_ _ Qui est M. Sonnental? Tien?)
_ _ (Il était intoxiqué par une pomme)
_ _ (Le pomme, ah, en effet
_ _ Je présume c’est le pomme se trouve là)
De la terre du bleu profond des fleurs lointaine
L’arbre des ces pommes d’or
Croissait silencieusement
_ _ (Il mangerait la peau d’or qu’il ne pelait pas)
_ _ (Je lui plains
_ _ C’est bon que il buvais l’eau régale immédiatement)
_ _ (L’eau régale? C’est nuisible
_ _ Oui, oui, en effet)
_ _ (Non l’eau régale n’est pas bon
_ _ Elle n’est pas bon malgré tout
_ _ Il n’y avait qu’à décéder
_ _ C’est sa destinée
_ _ C’est la providence
_ _ Est-ce que vous êtes parenté?)
_ _ (Oui oui, il est un parent très éloigné)
Pourquoi est-ce qu’il plaisantait donc?
Regardez, un chien blanc était à côté d’une écrie
Il avais fui de là-bas lointain lointain
Maintenait il était visible comme un rat de nankin avec peine
_ _ (Ah, Mon chien fuyait déjà)
_ _ (C’est inutile que vous poursuivez)
_ _ (Non, il est prix cher
_ _ Je dois lui attraper
_ _ Au revoir)
Arbres du pomme augmentaient avec excès
Et ils croissaient
Sous un arbre à l’échelle du carbonifère
Je étais seulement une fourmi
Le chien et le monsieur couraient beaucoup
Le ciel d’est tendrait l’ambre plein
Sur un bois du pomme
Par ça, on sent l’inflammation des amygdales
Tout à fait le jour devenait orageux
Le sommet du ciel et loin est-t-il
Quel est terrible de ce bord du ciel
Les alouettes joyeuses étaient aspirées enfin
C’est pauvre elles ses affaleraient
Entre ces plaques lapis froides
Il est certain que les épaules maigris tremblaient
Ce n’était pas de plaisanterie déjà
Les fantômes horribles des peintres
Couraient rapidement endroit-là
Toutes les nuages jetaient des flammes rouges du lithium
Puis la lumière intense allait et venait
Les herbes changeaient aux phaeophyceae
Ici est sûrement les champs incendiés des nuages tristes
Vent en zigzag et tourbillon jaune
Le ciel ondoyait fortement
Quelle est la tristesse aigre
_ _ (Pasteur, qu’est-ce que vous avez?)
Il était haut trop
_ _ (Vous avez maladie?
_ _ Votre visage est pâle)
_ _ (Non, merci
_ _ Il n’y a pas de chose grave
_ _ Et vous?)
_ _ (Je suis garde)
Il y a un sac à dos très carré
Dans lui un médicament liquid amer et l’acide brique
Il semble qu’il contenait plusieures choses
_ _ (D’accord
_ _ Aujourd’hui votre tâche est dur?)
_ _ (Merci
_ _ Maintenant, en chemin, un homme s’écroulait)
_ _ (Quel person est-il?)
_ _ (Il est un beau gentilhomme)
_ _ (Son nez est rouge?)
_ _ (Oui)
_ _ (Il attrapait un chien déjà?)
_ _ (À sa dernière heure, il dit
_ _ Que le chien était à quinze kilomètres là-bas
_ _ C’était très bon chien)
_ _ (Alors, est-ce que cet homme était emporté déjà?)
_ _ (Uh, il guérira quand une rosée tombera
_ _ Ben, il semble que une petite léthargie du temps jaune
_ _ Oh, il y a un vent fort, c’est embêtant)
C’est un vent fort vraiment
J’allais de me abattrait
Un œuf pourri d’un chameau dans un desert
La sulfure d’hydrogène et
La sulfite anhydre étaient contenu
Enfin il y avait deux courants aériens des le gaz de le ciel
Et ils heurtaient et devenaient à un tourbillon et ses formaient une fleur de la sulfite
_ _ Les courants aériens des le gaz étaient deux, ses formaient une fleur de la sulfite
_ _ _ _ Les courants aériens des le gaz étaient deux, ses formaient une fleur de la sulfite
_ _ (Tiens bon, tien
_ _ Pardon, tiens bon
_ _ Tu et embêtant enfin
_ _ Certainement, c’est embêtant
_ _ Donc, je reçois une montre, s’il vous plaît)
Qui le main mettait à ma poche
Qu’est ce qui est garde?
Pas de nécessaire, je ne peux rien faire
_ _ _ _ je ne peux rien faire
_ _ _ _ _ _ je ne peux rien faire
_ _ _ _ _ _ _ _ je ne peux……
L’eau tombait
Tant mieux, félicitez un dieu obligeant, c’est pluie
Dissolvez tout le gaz nuisible
_ _ (Courage, courage
_ _ Il n’y a pas de problème)
Est-ce qu’il n’y a pas problème? Je tombais à me révéler
_ _ (Ferme-la, toi!
_ _ Le voleur du temps jeune
_ _ Sergent Thénardier bruyant
_ _ Toi!
_ _ Ne te moques de moi trop
_ _ Es-tu garde? Toi!)
C’est bien fait, il était abattu
Il ne pas s’´panossait, il devenait petit
Il devenait desséché
On restait un sac à dos carré noir et carré
Il devenait un fragment de la tourbe
Ça t’apprendras qu’il était une tourbe très laide
Quelles choses mettraient au sac à dos?
Le garde, c’est pitoyable tout à fait
Une conserve du crabe de Kamtchatka
Un sac des graines du riz pluvial
Une paire de grandes chaussures mouillée
Et la chaîne d’or du gentilhomme avec le nez rouge
Cela n’a pas d’importance, c’est l’air pur vraiment
C’est l’air comme le liquide
_ _ (Oui, il faut Dieu est félicité
_ _ Est-ce que son pouvoir est loué?
_ _ Oui, c’est l’air pur)
La lumière claire du ciel, toutes les ordures étaient lavées
Cette lumière ne arrêtait rien
Donc il est tout sombre
Malgré le soleil tournait en bougeant
Je regardais les étoiles innombrables scintillaient
Toutes les herbes ses rétablissaient la chlorophylle
Le liquide de la claire de lune qui inclus le glucose
Encore, il battrait avec plaisir aussi
La tourbe grommelait quelque chose
_ _ (Excusez-moi, pasteur
_ _ Regardez ce nuages commence à bouger
_ _ Comme le pur-sang de la course de chevaux dans le ciel)
_ _ (Oui, c’est beaux
_ _ Nuage, course de chevaux
_ _ pur-sang du ciel, nuage)
Il montrait toutes les couleurs de la fantaisie symphonique
… C’était tardif déjà, il n’y a pas de temp je félicite
L’iris est léger et sa effet symphonique est faible
Maintenant, il devenait une groupe de vapeur
Le solvant vide de deux mille degrés en dessous de zéro
Était pris soudain et effacé dans ça
Mais plutôt, ma batôn
Où est-il allé donc?
Mon veston était disparu en un instant
Mon gilet disparait maintenant
Le solvant vide très affligé
Marchait à moi cette foi
Comme dans un estomac du ours
Cependant par le principe de conservation des masses
Il ne changeait pas
Si je disait comme ça
De la connaissance claire de ce pasteur
Les choses disparaissaient rapidement, c’est lamentable
_ _ (Ah, quelle bonne surprise!)
_ _ (Oh, gentilhomme Nez Rouge
_ _ Enfin, vous attrapez le chien)
_ _ (Merci beaucoup, néanmoins
_ _ Que vous arrivez-t-il?)
_ _ (J’ai très froid parce que j’ai perdu mon veston)
_ _ (D’accord, tien
_ _ Votre veston est ce-là)
_ _ (Mon veston est lequel?)
_ _ (Le veston dont vous vous habillez)
_ _ (En effet, ouais
_ _ C’est un truc de vide?)
_ _ (Oui, certainement
_ _ Mais, on peut bizarre
_ _ C’est ma chaîne d’or, est-elle?)
_ _ (Oui, de toute façon c’est une fonction de la garde de charbon)
_ _ (Ah bon, c’est un truc du charbon)
_ _ (Bien sûr
_ _ Le chien éternue beaucoup, ça vas bien?)
_ _ (C’est toujours)
_ _ (Il est grand)
_ _ (Voici le chien arctique)
_ _ (Il utilise comme le cheval?)
_ _ (C’est ça, il utilise comme-t-il. Comment?
_ _ Vous traitez mon chien?)
_ _ (Merci beaucoup
_ _ Donc je lui traits)
_ _ (S’il vous plaît)
Certainement
J’enfourchais le chien arctique
Il marchait à l’est comme le dieu chien
Il y avait herbes de gazon vertes très brillantes
Nos ombres étaient voyageurs bleus dans la sable
Puis la rue de ginkgo à l’instant
Sur quelle branche frêle horizontale
Un jeune homme admirable de verre
Devenait une triangle et était suspendu

Annelida Tänzerin

_ _ (Euh, c’est l’eau de Sol
_ _ C’est l’eau vague de gelée)
Le soleil est une rose d’or
Un petit annelida rouge
Portait l’eau et la lumière à son corps
Dansait tout seul
_ _ (Euh, huit, gamma, E, six, alpha
_ _ Particulièrement, il y a des lettres ornées de l’Arabesque)
Restes des insectes ailes
Une couche de feuilles mortes
Bulles des perles
Tiges de mousse étaient rompus
_ _ (Monsieur petit soleil rouge
_ _ Maintenant, sur une ombre du fond d’eau
_ _ Avec ombre jaune
_ _ Les doux dansent
_ _ Eh, mais, tout de suite
_ _ Ils flottent bientôt)
Le Annelida Tänzerin rouge
Avait deux oreilles pointues
Une bague du corail phosphorescente
Des boutons des perles brillaient correctement
Tournaient en rond et en rond
_ _ (Euh, huit, gamma, E, six, alpha
_ _ Particulièrement, il y a des lettres ornées de l’Arabesque)
Le dos brillait avec éclat
Tournait de toutes ses forces mais
Les perles étaient des imitations
Des balle d’air encore moins d’verre
_ _ (Non, cependant
_ _ Huit, gamma, E, six, alpha
_ _ Particulièrement, il y a des lettres ornées de l’Arabesque)

Le dos brillait avec éclat
De toutes ses forces
Il disait dansait, mais
En fait, il se tourmentait de les bulles de son corps
Il n’est pas du tout facile
_ _ Aussi le soleil entrait dans les nuages
_ _ Et, je m’asseyais sur une pierre et m’engourdissais
_ _ Un morceau de bois au fond d’eau est comme la chenille et la holothurie
_ _ Et d’abord je ne vois pas ta forme
_ _ Il se fond, c’est vrai?
Ou bien depuis de commencement tous
Était la rêve bleue vague
_ _ (Non, elle arrive jusque-là, elle arrive
_ _ Princesse, elle est là
_ _ Huit, gamma, E, six, alpha
_ _ Particulièrement, il y a des lettres ornées de l’Arabesque)
Huh, l’eau était vague
La lumière était embrassée
Insectes étaient huit, gamma, E, six, alpha
_ _ Particulièrement, il y a des lettres ornées de l’Arabesque est-t-il?
_ _ Ah, ça me chatouille
_ _ (Oui, il est certain exactement
_ _ Huit, gamma, E, six, alpha
_ _ Particulièrement, il y a des lettres ornées de l’Arabesque)

La ferme Koiwai – seconde partie

Un mauvais tambourin battrait dans le ciel loin aussi
La pluie, il ne pleuvait pas certainement aujourd’hui
Mais une voiture était vitesse donc
Il n’est pas merveilleux beaucoup
Par maintenant, enfin à là
J’allais à une part du chemin des cendres volcaniques
Là est justement un tournant
Des épis des herbes ses flétrissaient qui tremblaient
_ _ (Une montagne est plein des nuages bleues, et brillaient
_ _ C’est belle que la voiture à cheval noire commence à courir)
L’alouette, l’alouette
Au ciel dans ça des mille pièces d’argent ses dissémineraient
C’est l’alouette montait juste maintenant
Noire, rapide et d’or
Le mouvement brownien faisait dans le ciel
Aussi tes ailes
Étaient quatre comme la scarabée
Une était châtain clair et autre était laquée dure
Avait doublement certenement
Chantait très bien meilleur
Avalait la lumière du ciel
Bien sûr à plus loin
Elles chantaient plus beaucoup
Mais elles étaient l’arrière-plan
Ensuite de là-bas
Celle-ci semblait peu de brave
Par arrière, mai à cette époque
Qui s’habillait une manteau longue noir
L’homme comme un médecin venait
Il me regardait souvent
C’est un événement très banal
Quand j’allais le chemin direct sans embranchement tout seul
Aussi dans l’hiver c’est même situation comme ça
Un Macfarlane noir arrivait
C’est convenable au siège
Il jetait une bouée des mots de loin
Il marchait comme mastication péniblement
Sur un trajet inégal
Disait, c’est convenable au siège
Il demandait d’un air inquiet
Je disait seulement “Ouais” d’un ton brusque
Et sentais justement très pitoyable
Aujourd’hui il vient de loin

Surveillant de paysage

Ce bois
Mettait très trop patine
Cependant un arbre était comme ça ne sert à rien
Et par un peu de l’effet Purkinje
Est-ce que on était envoyé une ligne d’amber par les nuages
N’est-ce pas?

Ah, quel bon esprit
À la Bourse ou au parlement
On ne s’habille de redingote seulement
Plutôt tel soir du citron
Entre épis du riz blue foncé
Quand on dirigeait une bande de la Holstein
C’est très convenance et efficacité
Quel bon esprit
Même si il était le colour de yokan et était loqueteux
Ou il faisait un peu chaud
Quelle sérieuse position droite
L’homme pieux dans le paysage
Je n’avais pas regardé à ce moment-là

Le mont Iwate

Dans la réflexion dispersée au ciel
Une chose vielle et noire qui perçait
Au fond de la profondeur des fragments ses bousculaient
Une chose stagnait salement et en blanc

Platêau

Tek que la mer, Je, Pense
Malgré tout c’est la montagne brille
Oui
Cheveux, Sont soufflés par le vent
Un cerf commence à danser

Série du Harataiken (mantal sketch modified)

_ _ dah-dah-dah-dah-dah-sko-dah-dah
Ce nuit, sur la corde de lune
Décorait un capuchon avec une queue noire du coq
Balançait un sabre de bord unique
Dansers de la village Haratai
Les poitrines reboisaient jaune
Jetaient des amertumes de l’agriculture d’Alpen
Les joues potelées éclataient
Vouaient elles à le vent et la lumière du platêau
Portaient le cuir de lotus et cordelettes
C’étaient soldats de l’atmosphère terrestre, mes amis
Comprenions l’air bleu partout
Rassemblaient tristesse de la chêne et du hêtre
Portaient torchères de la serpentinite
Frappaient et tremblaient des cheveux du cyprès
Au ciel de odeur du cognassier
Brûlaient nouvelle nébuleuse
_ _ dah-dah-sko-dah-dah
Faisaient tailler le peau par la humique et le sol
Les muscles sont blessées par l’acide carbonique froid
Ses inquiétaient la lumière du soleil et du vent à la lune
Les maîtres prenaient de l’âge pieux
Ce soir la fête de la Galaxie et de la forêt
De la silhouette d’une pénéplaine
En plus ils battraient du tambours
Résonnaient sur les nuages de la lune mince
_ _ Ho! Ho! Ho!
_ _ _ _ Autrefois le roi Akuro de Takoku
_ _ _ _ Une caverne tout noir de deux kilometres
_ _ _ _ Une rêve et un dieu de la nuit noir traversaient
_ _ _ _ Le nez était coupé et plongé
Et l’Andromède était tremblée par les torchères
_ _ _ _ L’épate des masques bleues
_ _ _ _ Étaient coupés par les sabres et rampaient
_ _ _ _ Mettraient une araignée du bout du vent de nuit
_ _ _ _ Entrait l’estomac devenait bouese
_ _ _ _ dah-dah-dah-dah-dah-sko-dah-dah
De plus ils coupaient forts par les sabres
Invitaient ogres de la nuit tout autour
C’était la nuit que des sèves tombaient
Une érosion étendrait rouge sur le sol
Célébre le nuage qui tombe grêle et le vent!
_ _ dah-dah-dah-dah
Le vent sonorait et le cyprès était en désordre
La lune était des flèches d’argent qui étaient tirées
Tirer et finir aussi étaient la vie d’étincelle
Un grincement des sabres n’étaient pas effacées encore
_ _ dah-dah-dah-dah-dah-sko-dah-dah
La sabres étaient épis du riz qui chuchotaient
Des pleures de feu ses dispersaient sur le Lion
Le lit de la Voie lactée étendait et effaçait
Tirer et finir aussi étaient une vie
_ _ dah-dah-dah-dah-dah-sko-dah-dah

Le grand poteau électrique

Une pluie et nuages dégouttaient sur un sol
Des épis rouges des herbes des pampas étaient lavées
Une campagne devenait sympathique donc
Moineaux ses rassemblaient des cent pièces du verre
Du grand poteau électrique de Hanamaki

Enteraient rizières pour le pillage
Volaient comme « uru uru uru uru »
Dans la lumière des nuages et de la pluie
Moineaux reculaient des cent pièces du verre
À la grande bifurcation de Hanamaki

L’ouvrier du fil électrique

Un réparateur du verre capricieux du poteau électrique
Je vous conseille, vous êtes sur nuages, pluie et ce pin
Comme ça il est la forme de Les Mille et une nuits
Sa corps courbe noir et nettement beaucoup comme une clef
Le bas de son imperméable est mouillé et prend inquiétant
Cette réparation que vous ne remuez pas ses mains bien
Comme ça il est la forme de Les Mille et une nuits
Tu es un membre de la groupe des voleurs noire?
Pour le deuil à cette place
Il pose, on me transmet, mais
Pourquoi, comment-êtes vous très difficile?

Masaniello

Sur herbes des pampas au chateau
Il y a le ciel fabriqué à l’Italie
En cette place une troupe des oiseaux dansaient
Fragments de la nuage de muscovite
_ _ (Cèdre de la fossé et du velvet de canarium)
Arbre de elaeagnus ou une chose brillait et ébranlait fortement
Sept herbes des pampas d’argent
_ _ (À champ de paulownia au bout du chateau, ballottent et ballottent, le paulownia)
Aussi des fleurs de renouée bougeait
Moineau, moineau
Volaient lentement aux cyprès, entraient au riz
C’était sur l’ombre d’une berge et il y a pas de courant aérien
Ils pouvaient très lentement
_ _ (Je m’étouffe par le vent et tristesse)
Le nom de la femme plusieurs fois
Je répétais dans le vent, il n’y a pas de problem?
Je répétais le nom de la femme dans le vent, il n’y a pas de problem?
_ _ (Déjà, tout les gens ont bêches et cordes
_ _ Un moment ils descendent une berge.)
Actuellement, au ciel il y a pas des oiseaux
Encore un corbeau entrait du côte
Le toit était rectangle et cette pente était briller blanche
Deux enfants allaient à courir
Arboraient les manteaux et couraient, les enfants japonais
Autre fois les paraboles des moineaux bruns
Ici, il y a des mûriers du métal
Un plus enfant courrait lentement
Des épis de roseau étaient rouges et rouges
_ _ (C’est Russie, c’est Chekhov)
Un peuplier noir, ballottaient fortement
_ _ (C’est Russie, c’est Russie)
Les oiseaux tomberaient à monter
La groupe tombaient dans l’appareil de Kipp
Cette fois le ciel sur le chateau était le ciel chinois blanc
Trois oiseaux glissaient au cyprés
Quatre faisaient faisait vol circulaire

Le matin de la séparation éternelle

Dans aujourd’hui
Ma petite sœur ira au lointain
Il tombait de la neige fondue, et en dehors il était claire mystérieux
_ _ (Il ne pleut rien légèrement)
Aux nuages peu rouges et plus misères
La neige fondue tombait doucement
_ _ (Il ne pleut rien légèrement)
Étaient attachées le motif du brasenia bleu
Ces deux bol de poterie ébréchés
Je commençais à prendre la neige tu mangeait
Comme une balle de fusil qui était courbe
Je tombait à cette neige fonde noires
_ _ (Il ne pleut rien légèrement)
Les nuages sombres du colour de plomb bleu
La neige fondue enfonçait doucement
Ah, Toshiko
Par maintenant que tu commences à mourrir
Pour être joyeux à moi tout la vie
Ce un bol de la neige fraîche beaucoup
Tu me demandes
Merci de ma sœur méritoire
Aussi je marcherai droit
_ _ (Il ne pleut rien légèrement)
Entre les plus fortes fièvre et râles
Tu me demandais
Le monde était appelé la Voie lactée, le soleil et l’atomosphère
La dernière neige qui tombait du ciel…

……Sur deux pièces de la pierre Mikage
C’était la neige fondue s’accumulait tristement
Je était debut instable sur ça
Elle maintenait la système biphasé de la naive et de l’eau
Les gouttes transparentes et froides regorgeait
Par branches de ce pin poli
De ma petite sœur gentille
Je obtenais l’aliment de la fin
Dans le temps que nous avions grandi ensemble
Nous nous habituerons à voir ce bol bleu
Finalement tu quitterais aujourd’hui aussi
_ _ (Je, seulement, j’irai)
Vraiment aujourd’hui tu dois quitter
Ah, la salle d’hôpital close
Dans le compartiment et la moustiquaire sombres
Tu brûles doucement et pâle
Ma sœur méritoire
La neige toute entière
Elle était très blanche à quelque part
Du ciel déborde tel terrible
Cet belle neige arrivait
_ _ (Quand tu naîtrai encore
_ _ Tes difficultés et maladies nombreux
_ _ Tu naîtrai et tu ne souffriras pas)
À la neige des deux bols tu manges
Je souhaite par maintenant et ici
Changez l’aliment du paradis
Tout à l’heure pour toi et nous
Elles apportent l’aliment saint
Je souhaite je me servis ma toute capacité

Aiguilles de pin

_ _ Tout à l’heure je prends neige fondue
_ _ Ces sont belles branches de pin
Ô toi, comme sauter sur cette feuille verts
Tu elle mets à ton peau
Telles aiguilles bleues végétales
Ton peau était piqué fortement
Comme tu t’absorbes même
Comment tu nous étonnaits
Tel quel tu voulait aller au bois
Tu était brûlée par le fever
Quand tu te tordrais par le sueur et la douleur
Je travaillait joyeux à la place était brillée par le soleil
Je flânait dans le forêt pendant pensant autre persones
_ _ « Ah bien, c’est sympathique
_ _ Comme le sens dans le bois arrive »
Comme un oiseau, comme un l’écureuil
Tu admirais le bois
Et envierais à moi comment
Ah, ma petite sœur ira au lointain dans aujourd’hui
Tu pouvais aller tout seulement, vraiment
Tu devais me demander aller avec moi
Dis moi comme ça
_ _ De ton peau, cependant
_ _ Quelle est beauté de aujourd’hui
_ _ Sur le lit vert
_ _ Je couvre lui avec branches fraises de pin
_ _ Maintenant, gouttes tombent
_ _ Le ciel
_ _ Rafraîchissant
_ _ On sent bon l’odeur de turpentine

Le train Karafuto

Bandes de épilobe en épi et de trèfle violet
Il y avait de la fumée des petites pièces de rétinite
La ligne de mont Suzuya, je ne connaissait pas il est une brume brillant ou nuages
_ _ (Un crâne brûlé noir de un âne
_ _ Sur les gravillons rouges à côte du rail
_ _ Mettait très pieux)
_ Regards furtivement
_ Le saule devenait touffu en bleu et tremblait
_ Sûrement il était le saule de polaris
Ô, le fleur d’angelica ursina du pavois marine
Une épingle du colour de lune
Était un koropokkuru franc
Le sublime des cheveux blancs de la nuage de Vanf Hoff
Les choses qui faisait la queue étaient le saint betula alba

Le ruisseau traversait un champs bleu brillant
Il coupait la tundra
_ _ (La verre d’un poteau télégraphique était éclat)
Il était regardé par transparence du soleil couchant
Cette feuille de chrysoberyl
Et nervures une à une très précises
_ _ (La beauté de balancement des bouleaux)
Une clôture de bois était bâtie
Une filet de la lumière de trèfle violet
_ _ (Les arbres de bouleau autour
_ _ Poussaient aux champs incendiés
_ _ Donc tout avait le pensée du mahayana)
Touts les faux buddhiste mahayana étaient blurés
Le soleil devenait pâle un peu
Se superposait sur les nuages frisant à la ligne de mont
Une place du cadre de fenêtre du train
Devenait un prisme et le soleil réfléchissait
Et il jetait le spectre à un champ
_ _ (Les nuages courent lentement depuis un moment)
Le soleil était couché bientôt aussi
Avant il était couché par la estime
Après il était couché par le prestige
On faisait l’anneau de platine
_ _ `canon bouddhique`
Sûrement le soleil essayais entrer le nuage de laine
L’air claire de la lune de août de Sakhaline
Finalement comme le jus de raison
Ou il faisait fermenter doucement comme les freps
Donc le fleur d’angelica ursina voyait plus brillant
La grande montagne était mangée et fanée par une teigne du pin
Et le rayon de soleil rose brillait
De monsieur Nature, l’ingénieur du ciel
Le tout est leur très nouveau plan
Une ombre d’un plis de la montagne
Était une quadrilatère gauche bleue-verte
Dans cette balle transparente modeste
On peut voir corbeaux volaient
De haut Todomatsu d’une anode
C’était une blanche noire avait taillée et restait
_ _ `canon bouddhique`
Le pays montagneux des pièces de cristal
Des poudres en cuivre de nuage brûlaient
_ _ (Là-bas, elles brûlent et brûlent
_ _ Ici, bouleaux et saules devient sombre)
Quel est chouette dais de lapis
Dedans des nuages de feu brûlait en lambeaux
Une pièce finissait de la procès de la alchimie
Elle commençait à marier d’un moment à l’autre
_ _ (Une pièce du ciel bleu se trouble et se calme)
Tout autour, tout autour la fléole des prés du bleu de mer
Des choses circulaient, est le mélèze de Dahurie nerveux
Et une étagère de l’angelica et l’acajou
Entre très blue betula alba
Il bâtissait une magnifique maison avec une clef
C’est ma maison
Ce paysan joyeux avec la visage rouge
Écrivait en grand “Inoue” toudu au mur

Plateau Suzuya

Une abeille allait à voler
La machine du printemps pour le façonnage de l’ambre
Un Ammophilinae de la visage bleue
_ _ (Cette abeille apparus à moi
_ _ Obéirait en ordre à la loi de parabole
_ _ Tombait au monde inconnu solitaire)
Épis de la fléole ballotaient blues et joyeux
Pareil que la messe majestueuse et l’anneau de nuage
Ils ne étaient pas opposés à l’inquiétude et la tristesse
Donc une nouvelle abeille venait à voler
Parcourait alentour de moi
Elle était griffée par des ronces et des arbrisseaux encore
Elle se piquerait mon pied
Il se mouillait tellement, une journée que les nuages d’autumn volaient
Aux décombres d’un incendie au bout ravagés du plateau Suzuya
Je m’asseyais très joyeux
Vraiment ces todomatsus sont brûlés
Ses élevaient vers le ciel et ballotaient à la canadienne
Ou le betula alba croirait haut au-delà de la rêve
Il reverdissait nouvelles feuilles
Et était bousculé par la vague des trois orientations
_ _ (En dernière il est très vert
_ _ Je veux me lui servir que l’arbre de Noël
_ _ Pin bleu, le todomastu bleu
_ _ Poussaient beaucoup)
Tout autour la troupe de trèfle violet
Fleurissait les fleurs violets de lumière et brume
Ils fumaient de près de loin
_ _ (Les scolopacidaes chantent aussi
_ _ Sûrement le moteur des scolopacidaes)
Ce nuit je portais beaucoup de herbiers
Je traversais le détroit de Souya
Donc le son du vent était comme la locomotive à vapeur
Des choses coulaient était deux traits du té
Il n’était pas serpent mais un l’écureuil
Regardait soupçonneux à moi
_ _ (Maintenant le vent
_ _ J’écoute comme un bavardage bruit
_ _ Dedans des montagnes loins
_ _ Comme il tombait de le ciel bleu de l’hiver de Kouma
_ _ Il y a un grand toussotement tranparent
_ _ Il est quelqu’un vieux de Sakhaline)

Non avidité et remontrance à désir

Je montais à cheval qui s’habillait des papier huilé
Dans une paysage froide, l’ombre du forêt noir
Le coteau de une ablation annulaire douce, Entre les roseaux rouges
C’est bon marcher lentement
Je tenais un parapluie de polygone noire
Aussi acheter sucre en poudre
Était très nouveau dessin
_ _ (Chirakero chirakero, parus minor)
Une groupe des herbes rudes qui nomme riz
Comme monsieur Turner désirait même
Il devenait le colour de salade
Suivre de Moine Jiun
Était l’apparaître de non absorber et désir
_ _ (Chirakero chirakero, parus minor
_ _ Un riche fainéant de ce moment
_ _ Est un consul ferme)
La montagne soufflait la tristesse comme koto koto
Et le gris d’une ligne de feu ballottait
Suivre de Moine Jiun
Était l’apparaître de non absorber et désir

Paysage et la boîte à musique

Il était plein de l’odeur rafraîchissant des fruits
L’arc de crépuscule en argent froid
Les nuages couvriraient plus en plus
Dans les Chamaecyparis obtusa d’obsidienne et les cyprès
Une cheval venait lentement
Une paysan monterait en le cheval
Sûrement le demi de crops du paysan
Se fondrait par atomes des arbres et des argents
Et moi aussi, je pensait c’est bien il se fondait
Il venait lentement avec un cheval flou d’un grand cerveau
Cheval de Nanbu baissait la tête docile et gercé
Côte-ici du mont Matukura noir et grand
Un point de la complexe de dahlia
Le plan de cette lampe était
La gemme de septembre
Au planificateur de cette lampe
Je lui offrait une tomate bleue
Quelque mouillé ces chemins et
Un parapet était peint d’une créosote en ce moment
Deux fils électriques brillaient par le néant d’imposteur
Je ne savais pas le paysage était transparente
Au-dessus l’eau allait en coulant avec le grondement
L’argent et le pomme rafraîchissants de l’arc de crépuscule
La motte de poils de la poitrine d’un cygne noir qui flottait
_ _ “Ah,la lune se lève”
À là poudres aiguës de l’autumn
Étaient polis par les poudres de verre de la nuage
La lune de sixième jour était pointu de billant de couleur argent poli violet
Le parapet du pont s’était attaché beaucoup des gouttes de pluie
Quel est lever de cette nostalgie
L’eau était adhésif tranquille
Dans la paysage très transparente
Du mont Matsukura et le forêt Goken et dacites grosse
L’assassin intrépide était tirée
Je permettais à être assasiné
_ _ (Sûrement je coupait cette arbre)
_ _ (Le sommet de cedar se piquait en noir un bol de ciel)
Le vent arrachait et portait le demi du sifflement
_ _ (Machine des deux sens pitoyable)
Je regardais des herbes vertes vieilles de l’Inde
Eaux aux alentours heurtaient contre un escarpement
Ses détournaient de côté comme le poireau
Le vent soufflait bien comment
La surface de la lune dichotome était soufflée et ôtée
C’est pourquoi mon parapluie
Bruissait un moment
Et tombait par la place du pont qui se mouillait
Mont Matsukura, Mont Matsukura était aigu et s’élevait au le ciel blue gris sombre du diable
Une lampe électrique était très chaude
Le vent soufflait encore une fois
Vraiment venir en sifflant, le premier vent de Kalba
Une pièce d’un motif de la aube flottait
Cordes électrique et pièces terribles de la calcédoine
Par là une grande étoile bleue flottait que on se ne faisait pas
_ _ (Quels fois des compensations de l’amour)
Nuages de quel terrible colour du crapaud et
Ma veste s’agitait
_ _ (Mets, mets la boîte à musique)
La lune devenait deux brusquement
Un groupe de nuages ​​passant devant la surface lumineuse, créant un halo noir aveuglant
_ _ (Silence, silence Gokenmori
_ _ Si vous était coupé de blanches mais vous se calmez)

La quatrième trapèze

_ _ Envie de câlin bleue et
_ _ Une lèvre insatisfaite dans la pluie claire
_ _ Se fondrait au ciel bien
_ _ L’atmosphère du septembre de Japon
Le ciel faisait un tissu de brouillard
La marée haute des épis de pampas
_ _ _ (Le montagne triangle était brumeux par le lumière)
Une tondeuse du verre du ciel
Descendait de les nuages blanches
Coupait immédiatement des pins et des arbres divers
De la premier trapèze du Nanatsumori
Et la parnassie des marais et le lait de la chèvre
_ _ Quand on était très triste il était orageux par l’odeur d’lode
_ _ La vitesse du train était plus rapidement
_ _ Avec l’escarpement se mouillait et quelque choses
De la seconde trapèze du Nanatsumori
La surface fraise était coupée et enlevée
Un haut plateau bleu comme un agenda
Fumait une rêve du maitn
De l’escarpement terrible de la latérite
Des fougères horribles de la troisième trapèze
Une chêne denté et une squine glissaient
_ _ (Ô la solitude de le premier de bleu foncé)
Les nuage sont frisées et brillaient avec éclat
Libellules volaient comme des épis de pampas
_ _ (Les épis de pampas sont marée haute
_ _ Les épis de pampas sont marée haute)
De une arbre du châtaignier brûlait rouge
La quatrième pente bleue de Berlin de Nanatsumori
Montait et descendait sur les nuages de la parfume de la poire
Le soleil quand il était aveugle un peu
Ou la tondeuse le coupait
_ _ (Un chemin de terre humifère et une graphite du ciel)
La nuit Future et sa descendance sobordonnée
Son chapeau était soufflé par le vent
La marche agitée des pins de la chute des feuilles
Faire courir le cheval souvent
Un libereit sombre de la sixième trapèze
Était coupé comme Hackney
Rayon de ambre éclatait de travers
_ _ (Enfin je fait un mauvais calcul
_ _ Je suis triché sur quatrième ou cinquième par le ciel adroitement)
Pourquoi aucunement, ce n’est pas ça
Une pièce de un champ des perles qui commençaient à briller
Une chose se cachait au-delà un croisement du clair-obscur
Sûrement de la spetième trapèze
La dernière chose flottait sur les nuages
Le laid du pin crachait vert-de-gris et
Rétrécissait et pleurait, la laine des nuages
_ _ (Le montagne triangle était brumeux par le lumière)

Poudre et billet

Les épis de pampas ses rangeaient roulement
Les nuages étaient plus froides que la pulpe de fruits de Kachgar
Oiseaux tombaient en même temps
Notes du ragtime éparpilleraient
_ _ Fait par des traverses vieux brumées
_ _ Dans l’autumn d’une cabane noire d’entretien des voies
_ _ Un ouvrier de la forme tétraédrique
_ _ Dans une boîte de conserve à l’américaine
_ _ Pétrissait farine de blé
Oiseaux une pincée, ont dispersés du ciel brusquement
Ses développaient sur une pièce des nuages froides

Liste des traductions de la poésie
(Français, English, Español, Italiano, Deutsch)

Jean-Michel Serres Apfel Café Apfelsaft Cinema Music QR Codes Centre Français 2024.