commentaire de livre | « Le Meurtre du Commandeur » de Haruki Murakami, Shinchosha

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Le Meurtre du Commandeur eat le 14e roman de Haruki Murakami, deux toms et 1000 pages livres, et l’histoire de un peintre peint portraits comme travail. Le récit principal est événements fantastiques pendant son habiter des neuf mois à l’ancien atelier de Tomohiko Amada le peintre célèbre de l’art Japonais. Le 36 ans peintre spécialisé portrait souffrait une divorcé et affairs avec femmes mariées, rencontrait hommes mystiques (l’homme du Subaru Forester blanc, Wataru Menshiki and (un) «idée» nommé «Commendatore») and une jeune fille Marie Akikawa, et été impliqué dans l’incident énigmatique selon la peinture excellente et non publiée par Tomohiko Amada «Killing Commendatore». Quels incidents et événements mêlent intrinsèquemaient et impliquaient au peintre et il souffrait et surmontait les difficultés ainsi il grandit, a repris sa femme et a obtenu un enfin qui le peintre ne pouvait rien comprendre il est son vrai enfin ou pas.

La caractéristique et l’excellence du roman sont thèmes, éléments et épisodes variées comme le peinture à l’huile, le peinture de portrait, l’art japonaise, l’entreprise informatique, le voyage, le plaisir de vie solitaire, la peine des divorce ou séparation, la conduite de voiture, musique particulièrement l’opera des Mozart, Puccini et Richard Strauss, la puissance mystique par l’être comme Dieu et le Genius Loci, les sens du temp et du memoir, l’Anschluss Österreichs par Nazis à 1938 et le massacre de Nanking sont combiné magnifiquement par Murakami. Un de points intéressants et exceptionnels est la fusion du monde quotidien réel et le phantasme plaintif. Murakami avait décrit les incidents mystiques et les énigmes dans ses romans, mais ce roman s’unifie notre monde réel et elles pas comme «regarder fantôme(s) ou rêve(s)». Parce que, Murakami recueillait beaucoup de matériels sur le peinture à l’huile, l’Anschluss, les voitures (particulièrement le Jaguar XJ6 de monsieur Menshiki), les paysages et les endroit, et il décrirait minutieusement et de façon réaliste le monde réel, alors les matériaux tire parti de les éléments fantastiques.

Une des choses importantes est peindre portrait ou tableau, et son (ses) processus. Je peut rire ce roman comme une histoire de peinture portrait ou tableau, ou produire œuvre d’art y compris composer une partition mutique ou produire quelque choses, ou faire travaille par un homme. Murakami a décrit en détails le processus de création de le peintre solitaire et sa humeur se produire. J’ai les lu passionnant et admirablement. Comme les concepts des «évolution créatrice» et «élan vital» par Henri Bergson, produire arts est le chose ni réversible ni causal, est la chose intuitive est une sorte de chose magique. (et descriptions de sens des temp et memoir dans quels parties impliquent le philosophie de Bergson particulièrement le concept de «derée».) Murakami l’a bien décrit, et c’est un vrai plaisir de ce roman. D’un autre côté, travaux routine quotidienne émeut parfois cœurs des autres. Dans ce roman, le peintre fait les travailles de portrait même que travaille de routine ou écriture automatique, mais ses travailles impressionnaient ses clients.

Peindre portrait dans ce roman est une processus ou une méthode d’initiation, méditation, réfléchi ou une sorte de thérapie psychanalytique entre gens qui peint(e)s et le peintre. Par rencontres, le peintre dénichait cœurs sans connaissance des gens et appearances réels, et les formulait par peindre à travers de processus intérieur du peintre. Ainsi il dit peindre portrait est «trouver une histoire» d’un person. Mais peindre est une chose visuelle à un tableau, c’est pourquoi ce processus de convertir mots à une image visuelle fait valeurs et significations. Peindre portrait dans ce roman est égal de ou une métaphore de (le travail de) écrire roman. Ainsi, décrire peindre portrait pouvait un défi et un procès sérieux aussi pour Haruki Murakami lui même comme un romancier.

Le clou de ce roman est l’aventure dans la «voie des métaphores» la monde de pensées ou sous-connaissances collectives, ou l’espace de cœurs collectifs. L’expérience du peintre là-dans est Une méta-initiation ou méta-thérapie plus grande pour lui et pour les lecteurs. Je pense, l’expérience et l’éprouve là-dans cassaient le passé et remuaient les liens parmi phénomènes et parmi consciences, et cœurs des gens dans le monde réel. Ainsi, Certains problèmes ont été résolus pour le moment, et le peintre est revenu à la réalité pour de sorte à peindre portrait. C’est-à-dire, ce histoire contient une structure des deux phases des initiation ou théraphie des cœur ou ésprit.

Je devrais faire remarquer les points faibles de ce roman. Je pense le déroulement du histoire est convenable pour le peintre et Murakami. Personnes ont marchés comme que le peintre et l’auteur espèrent. Et le peintre s’impliquait dans les situations et il est passif, mais il est justifié par les personnes et événements. C’est la même chose que autres œuvres de Murakami. Autre point faible est on est pas de relations dans épisodes. Je ne peux pas comprendre la nécessité parmi les episodes tel que 1. le peintre et sa femme. 2. Tomohiko Amada, sa vivre et l’Anschluss. 3. monsieur Menshiki, Marie Akikawa et Shoko Akikawa. 4. idée apparaître «Commendatore» et l’aventure dans la «voie des métaphores». 5. l’homme de Subaru Forester blanc et le femme qu’il poursuive.. Chaque épisodes sont séparé et sans rapport les une les autre originellement. Je sens Murakami mélangera peut-être 3 à 5 romans, nouvelles ou intrigues à une histoire. Je ne peux pas comprendre la nécessité ou la cohérence entiers de ce histoire.

Malgré, je me sens bien simplement et je suis motivé par ce roman. Les vies et les styles de vie simples des le peintre et monsieur Menshiki sont beaux et oniriques. Les descriptions de créativité des le peintre et Tomohiko Amada sont très impressionnantes est agréables. Les liaisons avec les femmes mariées sont sensuelles. Descriptions des Shouko Akikawa. la maison de monsieur Menshiki, son Jaguar XJ6 Series 3 et la peinture nommée Killing Commendatore sont excellentes et édifiantes. Je pense que vous puissiez aimer faire lire seul les descriptions par Murakami. Autre excellence de cette livre est il y a des pensées philosophiques quelque chose des temp, memoir et volonté comme ou peut-être affectées par Baruch Spinoza, Henri Bergson, Maurice Merleau-Ponty and Ludwig Wittgenstein. La pensée vas bien avec sa thème.

Le dernier chapitre est soudain teinté d’un sentiment de suite et l’histoire finit à la hâte. Des mystères et énigmes sont non résolu encore et ne sont pas clair. Qui est l’homme sans visage? Quels sont les détails de l’incident survenu à Tomohiko Amada? L’enfant de Yuzu est l’enfant du peintre? Quelle est la réalité de M. Menshiki? Que fait le peintre sur le portrait de monsieur Menshiki? Quel est la sens du nom de monsieur Menshiki (échapper à la couleur, éviter la couleur)? Qui est l’homme de Subaru Forester blanc? Qu’est-ce qui s’est passé femme était poursuivie par l’homme de Subaru Forester blanc après cela? Le sens du deuxième divorce? Quels sont les sens et ce qui est arrivé à l’amulette pingouin et la cloche? Quelles est le sens et les conséquences du Séisme de 2011 de la côte Pacifique du Tohoku dans le dernier chapitre…
Ainsi, ce roman pourrait continuer à Livre 3…

détails sur le produit

Killing Commendatore, Livre 1: L’idée d’apparaîtré
Haruki Murakami
Sinchosha, Tokyo, 24 février 2017
512 pages
ISBN: 9784103534327

Killing Commendatore, Livre 2: La métaphore de déplacer
Haruki Murakami
Sinchosha, Tokyo, 24 février 2017
544 pages
ISBN: 9784103534334

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