Cahier | L’Appareil-photo de Jean-Philippe Toussaint, Les édition de minuit, 1989

Information de la livre

Le troisième roman de Jean-Philippe Toussaint, paru janvier 1989. Il réalisera ce roman dans son film La Sévillane dans 1992.

Forme, style & structure

Formation de l’œuvre & l’auteur

Synopsis sommaire

Sommaires

pp. 8 – 14

Le narrateur arrivais à l’école de conduite locale, pour être reçu au permis. Il rencontrais une jeune femme du bureau, et faire les formalités avec ses aides.

Le jour suivant, il arrivais à l’école encore pour formalité encore. Il et et la jeune femme mangeaient le petit déjeuner devant l’écran de projection.

pp. 14 –

Esquisse

Chronologie

Intrigue(s) et épisodes

Personnages

Le narrateur – L’homme qui commençais à aller à une école de conduite.

Jeune femme (pp. 8- ) – L’employée de bureau de l’école de conduite.

Jeune homme (pp. 12- ) – Un jeune homme avait 18 ans, vilain comme tout en plus qui voudrait juste déposer dossier.

Groupes

Emplacements (Etat, Préfecture, Ville, Village)

Endroits (Chambre , Boutique , École , Espace Public , Gare)

École de conduite (pp. 8 -)

Apartement du narrateur (pp. 8 -)

Éléments clés, mots clés & phrases clés

Photo

Choses culturelles sur ce roman

Musique

Scènes impressionnantes & descriptions importantes

Énigmes, mystères & questions

Pensée & philosophie

Personnellement, je n’en était pas aussi sûr. (…) quand les choses me paraîtraient mûres, je pourrais cartonner. (p. 14) – C’est le pensée principal ou un des les pensées principals du narrateur ou dans ce roman.

Interprétations, analyse, remarques ou mémorandum

Analyse et remarques

Conclusion

Détails sur la livre

L’Appareil-photo

Jean-Philippe Toussaint

Les Éditions de Minuit, Paris, France, (initialement publié en 1989)

128 pages, €5.50

ISBN 978-2707320056

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Résumé et commentaire | La salle de bain de Jean-Philippe Toussaint, Les édition de minuit, 1985

Résumé synopsis

Le narrateur était un homme de 28 ans qui résidait à l’apartment de Paris. Un jour, il habitait et passait à la salle de bain chez lui tout le temps. Edmondsson et leur maman ses occupaient lui. Les artistes polonais, Kabrowinski et Kovalskazinski arrivaient et peignaient les murs, et cuisaient les poules… Le couples dinaient chez le narrateur et quatre jouissaient le Monopoly…

Un jour, à l’improviste, le narrateur sortait de la salle de bain et Paris, se dirigeait vers Italia sans but, et il logeait un hôtel de Venise, et il passait des jours futiles. Enfin, Edmondsson venait chercher à lui, et elle passaient un certain temps à Venise. Mais le narrateur envoyait un flèche à Edmondsson par inadvertance et qui se plantait dans son front. Et Edmondsson retournait à Paris.

Il avait maladie d’une sinusite et entrait à un hôpital. Il se liait d’amitié avec leur médecin traitant. Le médecin invitait lui à diner et tennis. Par mal comportement du chef de service d’infirmière ou quelque choses, à l’improviste, il décidait retourner à Paris…

Commentaire de la livre

Ce roman décribes la vie contemporaine ordinaire de parisiens sans sense significant et événement grave. Les comportements et l’objet du narrateur sont aléatoire et étrange aussi léger et sans raison et stagnent de temps en temps. Le récit progresse légèrement dans la plupart de temps en temps il est arrêt. Et il est composé des choses miniatures et des épisodes banales.

Il y a une description importante dans la section 33 de la partie 1, par un monologue du narrateur. C'est la description ci-dessous.

33) Il y a deux manières de regarder tomber la pluie, chez soi, derrière une vitre. La première est de maintenir son regard fixé sur un point quelconque de l’espace et de voir la succession de pluie à l’endroit choisi ; cette manière, reposante pour l’esprit, ne donne aucune idée de la finalité du mouvement. La deuxième, qui exige de la vue davantage de souplesse, consiste à suivre des yeux la chute d’une seule goutte à la fois, depuis son intrusion dans le champ de vision jusqu’à la dispersion de son eau sur le sol. Ainsi est-il possible de se représenter que le mouvement, aussi fulgurant soit-il en apparence, tend essentiellement vers l’immobilité, et qu’en conséquence, aussi lent peut-il parfois sembler, entraîne continûment les corps vers la mort qui est immobilité. Olé. (pp. 37-38)

Cette description est important est éssence de ce roman, et c'est le pensée et la thème de ce roman. Et c’est le pensée du mouvement et de l'arrêt, ainsi ce roman est récit du courant et de l’arrêt.

Trois chambres ce qui le narrateur habitais et logeais, la salle de bain, la chambre de l’hôtel et la chambre à deux lits de l’hôpital sont les places et les points dont le narrateur regarde des choses mouvementes.

Trois nourritures, les pouples, la dame blanche et le flamber les rognons sont symboles du mouvement et du changement continu. Ils signifient le mouvement ou le courant de la matière entre l’espacement.

Et monopoly, fléchettes et tennis sont les chose ou les élément de l’arrêt. Ils sont des choses mouvement essentielles, mais ils cousent des arrêts dans ce roman, ou des développements de l’arrêt.

Le narrateur vis aléatoire et librement, causent des événements ou des phénomènes de l’arrêt, et demeure les points pour penser et réfléchir.

Les trois éléments, éposodes entre autre personnes et ces combinations font le rhythme et courant agréables, et compose jolies scènes blanches.

Ce roman est le roman de rythme et de courant, qui écris les gens vivent dans le rythme et le courant légers sans sense dans la ville contemporaine. C’est une belle vie. Il doit très sympathique, agréable et amusant pour les lecteurs.

Détails sur la livre

La salle de bain

Jean-Philippe Toussaint

Les Éditions de Minuit, Paris, France, (initialement publié en 1985)

144 pages, €5.50

ISBN 978-2707319289

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Cahier | La salle de bain de Jean-Philippe Toussaint, Les édition de minuit, 1985

Information de la livre

Le premier roman de Jean-Philippe Toussaint publiait en 1985.

Synopsis (Résumé)

Le narrateur était un homme de 28 ans qui résidait à l’apartment de Paris. Un jour, il habitait et passait à la salle de bain chez lui tout le temps. Edmondsson et leur maman ses occupaient lui. Les artistes polonais, Kabrowinski et Kovalskazinski arrivaient et peignaient les murs, et cuisaient les poules… Le couples dinaient chez le narrateur et quatre jouissaient le Monopoly…

Un jour, à l’improviste, le narrateur sortait de la salle de bain et Paris, se dirigeait vers Italia sans but, et il logeait un hôtel de Venise, et il passait des jours futiles. Enfin, Edmondsson venait chercher à lui, et elle passaient un certain temps à Venise. Mais le narrateur envoyait un flèche à Edmondsson par inadvertance et qui se plantait dans son front. Et Edmondsson retournait à Paris.

Il avait maladie d’une sinusite et entrait à un hôpital. Il se liait d’amitié avec leur médecin traitant. Le médecin invitait lui à diner et tennis. Par mal comportement du chef de service d’infirmière ou quelque choses, à l’improviste, il décidait retourner à Paris…

Summaries de chaque chapitre

« Paris » (1ère partie)

1 – 10

Le narrateur commentais à passer après-midi dans sa salle de bain chez lui. Et sa amie, Edmondsson s’occupait lui.

Le narrateur refusais quitter la salle de bain. Et il portait ses livres de sa bibliothèques à la salle de bain.

11

Le narrater sortais de la salle de bain.

12 – 16

Un artiste polonais, Witold Kabrowinski et un homme plus jeune polonais visitaient chez le narrateur pour repeindre cuisine. Mais deux Polonais attendraient la peinture qu’Edmondsson avait oublié. Les quatre personnes mangeaient des spaghetti alle vongole, Edmondsson avait fait. Et, Edmondsson trichait des payes pour deux.

17 – 20

Les deux Polonais quittaient l’apartement. Edmondsson se désahabillait ses vêtements pour faire l’amour. Après ça, ils prendraient le bain.

Le narrateur était couché dans le lit, Edmondsson pressait lui de questions sur l’invitation de l’ambassade d’Autriche.

21 – 35

Kabrowinski visitait chez le narrateur, et il portait des poules faissait cadeau à Edmondsson. Kabrowinski souhaitais à se servir de la salle de bain. Mais le narrateur s’enfermai dans la salle de bain, et il se rasait sa berbe. Les trois mangeaient le petit déjeuner. Après le petit déjeuner, Kovalskazinski Jean-Marie et Kabrowinski cuisaient les poules, pendant il cuisait, le narrateur pensait autour de la réception de l’ambassade d’Autriche et tourniquais dans son appartement.

36 – 37

L'hiver, avant le déménagement à l’apartement, les anciens locataires leurs présentaient sa place et les quatre personnes dînaient ensemble.

38

Le narrateur et Edmondsson prendraient la crémallère, et invitaient le couple. Le couple faisait la tournée des chambres, nous prenions le dîner et jouissaient Monopoly.

« L’hypoténuse » (2ème partie)

1 – 7

Le narrateur partis brusquement de sa appartement et aperçoit l'autobus et allait à la gare. Et il montrait en un train allait à quelque part. Il arriverait quelque ville d’Italie et se réservait une chambre à un lit d’hôtel. Il fait des courses au grand magasin Strada, et à la pharmacie.

8 – 9

Le narrateur allais à la salle de bain de l’hôtel. Et il prenait une douche.

10 – 34

Le narrateur restais et passais dans le hôtel et ces environs. Il commençais à donner de ses nouvelles à Edmondson (§ 25). Edmondson lui téléphonait, et par le jour ils ses téléphonaient encore chaque fois (§ 28), et il faisait les jours du narrateur étaient rhythmées.

35 – 41

Edmonson venait à l’Italie me chercher. Le narrateur et Edmondsson revoyaient à la gare. Et ils dinaient au restaurant. Au dessert, il faisait cadeau une montre à elle.

42 – 75

Nous rentrions à l’hôtel. Le narrateur et Edmondsson passaient et ses amusaient dans la ville d’Italie.

75 – 80

Le narrateur envoyait à Edmondsson et qui se plantait dans son front, et elle perdait du sang, ainsi il portait elle à l’hôpital. Elle se rétablissait sa blessure, et ils ses assuraient ses amours.

« Paris » (3ème partie)

1 – 2

Edmondsson rentrait à Paris.

3 –

Le narrateur était maladie par un début de sinusite.

44

Le narrateur arrivait leur appartement. Et il ne sortait pas l’apartement et s’enfermait la salle de bain encore. Et ensuite…

Personnages

Narrateur – Il devenu vingt-sept ans, un chercheur.

Edmondson – L’amie du narrateur. Elle travaille à mi-temps dans une galerie d’art, pour elle subvenait aux besoins du foyer pour le narrateur.

Maman (1. § 6)

Ami de mes parents (1. § 8) – Il visitait la salle de bain, il se vantait de sa profession et son effort.

Kabrowinski Witold (1. § 12, 13, 15, 16, 17, 21) – Un artiste polonais qui repeindre la cuisine du narrateur.

Kovalskazinski Jean-Marie (Un plus jeune homme) (1. § 12, 13, 16, 21, 25) – Un artiste polonais.

Les anciens locataires de l’appartement (1. § 36) – Vieux couple. L’homme prendrait sa retraite, et ils ses transplantaient à Normandie.

Le couple (1. § 38) – Des amis d’enfance d’Edmondsson. L’homme est Pierre-Étienne qui

La demoiselle du Syndicat d’initiative (2. § 2)

Barman (2. § 13, 20, 22) – Un barman d’hôtel

J d’Ormesson (2. § 48) – Le homme du couple, le narrateur et Edmondsson furent passés.

Médecin (3. § 4 – ) – Il entrait dans l’intimité avec le narrateur. Ils bavardaient dans le bureau. Et il invitait le narrateur à diner chez lui et invitait lui jouer au tennis.

Chef de service d’infirmière (3. § 11, 37) – Seule elle nourrissait de l’antipathie au narrateur, dans les infirmières.

Femme du médecin (3. § 16)

Le fros blond (beau-frère du médecin) (3. § 25)

Un Soviétique (3. § 39)

Emplacements

Paris (1ère et 3ème parties)

Venise (? ou quelque ville d’Italie) (2ème partie)

Endroits

Salle de bain – Il y avait des placards, des porte-serviettes, un bidet et une tablette avec des brosses à dents et rasoirs. Le lavabo était blanc. Le narrateur regardait fixement le mur et sa fissure.

Appartement du narrateur

Hôtel en Italie (2. § 2 -) – Le narrateur pensait l’hôtel était désert et un labyrinthe, nulle indication. (2. § 6)

Grand magasin Standa (2. § 5, 17)

La salle de bain de l’hôtel (2. § 9) – Les murs étaient ver clair, la peinture gonflait par endroits.

L'église Saint-Marc (2. § 51)

L'hôpital (3. § 4 – )

Chambre à deux lits (3. § 6 – ) – Le troisième chambre dans ce roman.

Le café à côté de l’hôpital (3. § 8, 12)

Maison du médecin

Court de tennis

L’aéroport Marco Polo (3. § 39)

Elements clés

La dame blanche (1. § 9) – D’un point de vue scientifique du narrateur, il pensait dans ce mélange un aperçu de la perfection.

Lettre de l’ambassade d’Autriche (1. § 9, 20)

Blanc, beige (1. § 16)

Pouples (1. § 21)

Orange (1. § 24) – Le colour hyper-moderne.

Monopoly (1. § 38)

Transistor (2. § 6) – Il doit une métaphore du narrateur.

Montre (2. § 40) – Au restaurant, le narrateur faisait cadeau d’une montre à Edmonson. Elle pouvait signifier la normalité et le rythme de la vie.

La dame blanche (2. § 55, 56) – Le narrateur regardais fondre imperceptiblement la vanilla. Cette action et ce description sont une reflexion sur (le sens de) leur propre corp et le mouvement et le durée du temps.

La peinture de Mondrian (2. § 64) – Le signifiant de Mondrian est l’immobilité, et la peinture évoque la salle de bain.

Jasper Johns (2. § 64)

Fléchettes (2. § 64 – 75) – Une action et des choses du mouvement. Le narrateur envoyait à Edmondsson et qui se plantait dans son front, et elle perdait du sang, ainsi il portait elle à l’hôpital. Cette élément une occasion de changer l’ambiance et la scène, et mouvait le récit qui était stagnant.

Sinusite (3. § 4)

Flamber les rognons (3. § 16)

Tennis (3. § 23 – 28)

Mots-clés et descriptions importantes

la quiétude de ma vie abstraite pour (1. § 10)

"Manière de regarder tomber la pluie” (1. § 33) – Cette description est la philosophie ou l’idée de ce roman. Regarder moments ou points du mouvement est reposante pour l’esprit, mais il n’est pas important. Poursuivre le mouvement est très important et significatif pour l’essence des choses et de la vie. Et, poursuivre le mouvement est une manière de trouver la conséquence et l’immobilité.

Sensible au mouvement (2. § 4) – Le pensée et la thème de ce roman. Le mouvement par train, dans un compartiment le corp n’est pas mouvoir dans ça. Mais, simultanément, le corp mouvais dans l’espace, l’état de sa sensibilité ou son esprit changeait ou mouvais. Mouvements physique et metals sont séparées et conectées.

Les heures du premier jour à l’étranger, le courant du temps était plus longue et plus appesantie. (2. § 10)

Mes journées, maintenant, étaient rhthmées (2. § 29)

Immobilité (2. § 64) L’élément de la peinture de Mondrian, et une des thèmes de ce roman.

Références culturelles sur ce roman

Mondrian (1. § 9) – Piet Mondrian (1982 – 1944), un peintre néerlandais de l’art abstrait.

L'exposition Raphaël (1. § 24)

Van Gogh, Hartung, Pollock (1. § 24)

Frank Zappa (1. § 38)

Titien (1. § 8)

Véronèse (1. § 8)

Benetton (2. § 49)

Pensées de Pascal (en anglais) (2. § 60)

Analyse et remarques

Ce roman est un récit du temp contemporain, il n’y a pas de chose grave et grande signification. Il décrit la vie ordinaire contemporain de un homme, sans raison. Le récit, son objet et le comportement du narrateur sont flous et stagnent de temps en temps.

Et ce roman est récit du courant et de l’arrêt. (1. § 33)

Trois nourritures, les pouples, la dame blanche et le flamber les rognons sont symboles du mouvement et du changement continu. Ils signifient le mouvement ou le courant entre un espacement.

Monopoly, fléchettes et tennis sont les chose ou les élément de l’arrêt. Ils sont des choses mouvement essentielles, mais ils cousent des arrêts dans ce roman.

Trois chambres, la salle de bain, la chambre de l’hôtel et la chambre à deux lits de l’hôpital sont les places et les points dont le narrateur regarde des choses mouvementes.

Les comportements du narrateur causent des événements ou des phénomènes de l’arrêt.

Détails sur la livre

La salle de bain

Jean-Philippe Toussaint

Les Éditions de Minuit, Paris, France, (initialement publié en 1985)

144 pages, €5.50

ISBN 978-2707319289

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