traduction | À l’hypothèse dans le Propos sur la vie de Kiyoshi Miki

Quel est le pensée ? Il deviendra claire par penser contre la vie. La vie est un fait, et une chose expérimental à l’infini. Contre elle, le pensée a toujours partie hypothétique. Un pensée n’a pas partie hypothétique, qui est n’appelé pas le pensée. Le pouvoir qui le pensée possède purement comme le pensée est le pouvoir d’hypothèse. Un pensée devient grand à mesure que cette étendue de l’hypothèse. Si le pensée n’a pas partie hypothétique, comment est-il distingué par la vie ? Le penser soi-même est clairement une partie de notre vie, il n’est pas chose différente. C’est pourquoi, il est distingué par la vie encore, parce que le penser est essentiellement penser hypothétique.

Le penser est penser en processus. Il pouvait être pensée en processus et méthodologique. Ainsi le pensée est en processus pourquoi on pense hypothétiquement. C’eat-à-dire il peut être le pensée hypothétique et méthodologique simultanément. Le scepticisme de Descartes monte l’exemple, même si le scepticisme doit venir de l’hypothèse pour être méthodologique.

Penser hypothétiquement n’est pas simplement même que penser logiquement. L’hypothèse est plus fondamentale que la logique dans un sens, la logique sorti par là. Je peut dire que la logique elle-même est une hypothèse. L’hypothèse a pouvoir faire une logique par une hypothèse elle-même. La logique sorti par la chose plus incertaine que la logique. Tant que la logique est pensée comme une chose fait l’hypothèse, on doit penser elle-même est une chose hypothétique.

Toutes les choses certaines apparaissent par choses incertaines. On doit penser profondément que cet fait n’est pas contraire. Ainsi, les choses certaines sont formées et n’est pas choses données, et l’hypothèse est pouvoir de formation. La perception est une formation, n’est pas de copie. L’esprit est l’artiste, n’est pas de miroir.


Est-ce que la pensée seule est hypothétique, et est-ce que la vie n’est pas hypothétique ? La vie est aussi une chose hypothétique. Elle est hypothétique, parce que elle se lie au néant. Chaque personne naît pour prouver une hypothèse. Vivre n’est pas quelque chose pour prouver vivre seul — preuve comme ça n’est pas presque nécessaire — en fait, pour prouver une hypothèse. Donc je pense la vie est une expérience. — L’expérience ne peut pas existe sans hypothèse. —Dès le debut, elle n’est pas faire quoi que ce soit, elle est une poursuite à l’hypothèse propre est crée pour prouver par soi-même.


Si la vie est une chose hypothétique, par même chemin que le pensée est distingué en tant que une chose hypothétique à la vie, il faut exister une chose par que la vie est distinguée comme une chose hypothétique.


L’hypothèse n’est pas de chose logique seule, est évident par elle existe aussi dans le pensée de la littérature. La création des romanciers est exclusivement la prevue des leurs hypothèses. Le sens de la vie est une preuve de l’hypothèse, ressemble à lui. Au moins, dans ce cas, l’hypothèse appartient au pouvoir de plan, ne pas au raisonnement seul. On peut dire qu’elle est une fiction. L’hypothèse est une chose incertaine mais praticable. Ainsi la question est lui prouver. Elle est incertain mais praticable, n’est pas du sens logique, est du sens de la ontologie plutôt. Autrement dit, elle signifie non seulement l’existence humaine conditionne le néant, mais aussi elle est confondu avec le néant. C’est pourquoi, le preuve de l’hypothèse doit être une formation créatif même que le roman. L’expérience dans la vie est la formation comme ça.


La caractéristique le plus importante distingue la connaissance quotidienne (le sens commun) de le pensée, est il n’y a pas de partie hypothétique dans la connaissance quotidienne.


Vous pouvait dire le pensée doit être la conviction, n’est pas de hypothèse. Mais une idée que le pensée doit doit être la conviction, indique le pensée est la hypothèse. En cas de la connaissance quotidienne, on n’est pas nécessaire de croyance surtout à cause de il n’y a pas de partie hypothétique dans la connaissance quotidienne. La connaissance quotidienne est une croyance déjà, par contre le pensée doit être une conviction.


Touts les pensées sont digne de le pensée ont une partie excessive. Parce que ils sont poursuites de l’hypothèse. Au contraire, le grande virtue de qui la connaissance quotidienne possèdent, est la modération. Aussi le vrai pensée a une caractéristique, quand on agit par ça en réalité, qui nous questionne sur vivre ou mourir. Le homme d’action comprends cette nature dangereuse du pensée, mais le penseur l’oublie plutôt. Cependant grands penseurs seuls connaissent cette chose plus que le homme d’action. Socrate accepte obéissant sa peine capitale de mort en raison de ça.


Recevoir malentendus devenu une fait toujours du penseur, parce que peu nombreux sont les gens qui comprennent pensée du penseur est une hypothèse. Mais la moitié de cette faute existe par un penseur soi-même dans plupart des cas, ce penseur soi-même oublie que le pensée est chose hypothétique. Selon sa paresse est souvent. Tant que la poursuite continue, la caractéristique hypothétique du pensée apparaît sans cesse.


L’éclectisme comme un pensée est impuissant, c’est pourquoi pureté de l’hypothèse est perdu. Il s’approche de la connaissance quotidienne, et dans la connaissance quotidienne il n’y a pas de chose hypothétique.


Le pensée de hypothèse est probablement le plus grand pensée apporté par la science moderne. Une méprise sur la demonstration par les fait de la science moderne, surgit par on ne aperçoit pas pleinement l’esprit de l’hypothèse ou on ne saisit pas correctement. Ensuite l’éclectisme devait se trouver au nihilisme. Si on ne savait pas de esprit de l’hypothèse, le positivisme doit se trouver seulement au nihilisme.

Détails sur le produit

Propos sur la vie
Kiyoshi Miki
Libraries Kadokawa-Sophia, Tokyo, Japon, 25 mars 2017
225 pages, JPY 660
ISBN 978-4-04-400282-4

Contenu

  • Propos sur la vie
  • La philosophie qui n’est rancontré jamais
  • Pour mes enfantes petites
  • Commentaire par Ichiro Kishimi

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« Le Propos sur la vie » de Kiyoshi Miki

Philosophy / Philosophie

Note | Berkeley’s Subjective Idealism

George Berkeley’s epistemology is monism of perception, immaterialism or subjective idealism. Berkeley criticized John Locke’s premise of objective existence of external things.

Human mind is a free and active thing can produce and erase ideas. But vivid ideas come to mind directly, a man can’t produce or erase them at will like imagination. Direct ideas should come from the other side. Berkeley thought that these direct ideas are produced by the God as the most free and active spirit than human spirits. First of all, ideas are created and sent by the God.

Berkeley thought, to investigate ideas in detail, we can certify the existence of the God.

But to think the cause of ideas is the external existence of the God must be an insufficient theory of epistemology equal to John Locke.

References

Jean-François Revel, Histoire de la philosophie occidentale (Nil Éditions, 1994)

Luc Ferry & Claude Capelier, La plus belle histoire de la philosophie (Éditions Points, 2014)

Roger-Pol Droit, Une brève histoire de la philosophie (Flammarion, 2008)

Bertrand Russell, The History of Western Philosophy (Simon & Schuster, 1972)

Nigel Warburton, A Little History of Philosophy (Yale University Press, 2011)

Roger Scruton, A Short History of Modern Philosophy (Routledge, 2002)

Gen Kida, History of Anti-Philosophy (Kodansha Academic Library, 2000)

Seiji Takeda & Ken Nishi, The First Histoty of Philosophy: To Think Profoundly (Yuhikaku, 1998)

Shigeto Nuki, Illustrated & Standard History of Philosophy (Shinshokan, 2008)

Shigeto Nuki, Philosophy Map (Chikuma New Books, 2004)

Sumihiko Kumano, The History of Western Philosophy: From The Modern Ages to The Present Day (Iwanami New Books, 2006)

Thierry Paquot & François Pépin, Dictionnaire Larousse de la Philosophie (Éditions Larousse, 2011)

Simon Blackburn, The Oxford Dictionary of Philosophy (Second Edition Revised), (Oxford University Press, 2008)

Robert Audi, The Cambridge Dictionary of Philosophy (Second Edition), (Cambridge University Press, 1995)

Thomas Mautner, The Penguin Dictionary of Philosophy (Second Edition), (Penguin Books, 2005)

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Criticism of Notion of Innate Ideas

John Locke’s question about epistemology or metaphysics was what is our origin of knowledge of nature and moral. Also what things we can be certain they are knowledge.

Locke denied the rationalist notion of innate ideas. The reason of the notion of innate ideas is all men already have ideas by nature. But Locke thought children don’t know complex ideas like law of contradiction or law of excluded middle. Even ideas of justice or the God should be known or made by knowledge or thinking. All of ideas must be made by men through a path. Locke named the path experience .

Locke’s Epistemology

Sensations such as white, sweet and rough we feel by the five senses, Locke called impression . The stuff, temporary impression is fixed, Locke called idea .

Human mind at birth is a tabula rasa (blank slate). Sense and reflection as workings of mind describe ideas on tabula rasa. Sense produces ideas about external things such as white, black, hot or cool. Reflection produces ideas about function of mind such as thinking, perception or will.

Ideas given by sense and reflection, are named simple ideas . The mind makes a complex idea by some simple ideas.

Locke confirmed intuitive knowledge and demonstrative knowledge based on mutual comparison among ideas are certain, and established the basis of empirical science.

Substance and Primary Quality / Secondary Quality

Locke limited certain knowledge is made by ideas on the range of perception.

Although Locke insisted substances and the God are exist in the outside of mind. Primary quantities are objective qualities such as solid body, extension or motion. Secondary qualities are qualities of which primary qualities affect a mind and associated by/in mind.

Locke’s notion of substances and qualities may be a remain of Descartes’ dualism or his desire for the truth (correspondence between subject and object).

References

Jean-François Revel, Histoire de la philosophie occidentale (Nil Éditions, 1994)

Luc Ferry & Claude Capelier, La plus belle histoire de la philosophie (Éditions Points, 2014)

Roger-Pol Droit, Une brève histoire de la philosophie (Flammarion, 2008)

Bertrand Russell, The History of Western Philosophy (Simon & Schuster, 1972)

Nigel Warburton, A Little History of Philosophy (Yale University Press, 2011)

Roger Scruton, A Short History of Modern Philosophy (Routledge, 2002)

Gen Kida, History of Anti-Philosophy (Kodansha Academic Library, 2000)

Seiji Takeda & Ken Nishi, The First Histoty of Philosophy: To Think Profoundly (Yuhikaku, 1998)

Shigeto Nuki, Illustrated & Standard History of Philosophy (Shinshokan, 2008)

Shigeto Nuki, Philosophy Map (Chikuma New Books, 2004)

Sumihiko Kumano, The History of Western Philosophy: From The Modern Ages to The Present Day (Iwanami New Books, 2006)

Thierry Paquot & François Pépin, Dictionnaire Larousse de la Philosophie (Éditions Larousse, 2011)

Simon Blackburn, The Oxford Dictionary of Philosophy (Second Edition Revised), (Oxford University Press, 2008)

Robert Audi, The Cambridge Dictionary of Philosophy (Second Edition), (Cambridge University Press, 1995)

Thomas Mautner, The Penguin Dictionary of Philosophy (Second Edition), (Penguin Books, 2005)

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