Mémo | La pensée et les concepts (existentialiste) d’Arimasa Mori

La pensée (existentialiste) d’Arimasa Mori

La pensée unique d’Arimasa Mori s’est formée au contact direct de la ville et de la nature pendant ses vingt-six années de vie “solitaire” à Paris, où il est allé étudier Descartes et Pascal, en acceptant les événements tels qu’ils se présentaient à ses sens et en voyant les choses avec ses propres yeux, en rejetant les idées préconçues. Affronter seul la solitude est une méthode philosophique, comme la “réflexion” de Descartes ou la “réduction” de Husserl. En rencontrant la “dureté dense” de Paris, le “désespoir” ressenti face à la grandeur de la civilisation européenne, et en repensant à lui-même et au Japon, Mori a appris à se connaître et à apprendre “ce qui ne peut être appris qu’au Japon”.

Après avoir décidé de s’installer à Paris, Mori a commencé à écrire des essais philosophiques, contemplant les concepts quotidiens tout en leur donnant leur propre sens et en formant sa propre pensée existentialiste, basée sur les problèmes de Dieu et de l’esprit de Descartes, mais s’éloignant de sa philosophie, du rationalisme et de la raison.

L’élément central de la pensée de Mori Arimasa est son éveil, à Paris, aux concepts d'”expérience” et de “sensation”. L’éveil à la “sensation” à Paris, où des relations empreintes de passion et d’érotisme et de riches négociations humaines ont été créées et accumulées au fil du temps, signifie que les “sensations” et les “expériences” créées par moi et les choses sont des choses qui me sont données par la nature et le monde. Les “sens”, selon Mori, sont la manifestation de tout ce que nous vivons dans les sens. Les villes, les bâtiments, les paysages et les œuvres d’art deviennent des “choses” qui nous donnent un but et un sens, plutôt que de simples objets. L’expérience est l’enrichissement et la maturation de ces “sens”, qui peuvent être exprimés en un seul mot. En étant placée en Europe, dans un lieu où existent différentes cultures, la forêt a pu redéfinir le contenu de l’expérience. Et c’est l'”esprit” qui a le pouvoir de réfléchir et de relier le “mot” défini et l'”expérience” qui le définit, tout en transcendant l’expérience. Nous cherchons ce qui est au-delà de nous-mêmes, la transcendance, mais en fin de compte nous revenons à nous-mêmes. Nous devons créer une pensée sur la base de la vie et de la pensée. En créant cette pensée, l’être humain doit construire son propre monde individuel.

Nous devons vivre par l’utilisation pratique de mots et de concepts qui relient le personnel à l’universel. Il est important d’utiliser réellement les mots, de relier l’expérience individuelle à l’universel et de donner un nom à l’expérience, qui est de penser et de vivre réellement. Si nous voulons vivre de manière originale, nous devons donner à notre expérience un mot qui a une longue histoire. Il y a vie humaine lorsque les mots et les concepts philosophiques ne sont pas séparés de la vie, mais y sont liés de manière pratique. Bien vivre, c’est bien penser, et bien penser, c’est bien vivre. En d’autres termes, il s’agit de vivre en tissant son “expérience” en combinant la réalité et le langage.

Concepts d’Arimasa Mori

Sensation : le point de départ de tout, la base de l’expérience et de la pensée, donnée à l’individu par le monde et les choses, et mûrie naturellement. C’est le lieu où se manifeste tout ce que je vis. Le monde de la sensation directe est la seule chose que nous puissions toucher en ce monde, sans laquelle il ne peut y avoir d’opération abstraite. Les sens et les choses sont le lieu de rencontre de tout ce que nous vivons. La sensation est personnelle et les sensations d’autrui ne peuvent être les nôtres. Les sens ne sont pas perçus par l’ego, mais les sens épanouis sont la racine à partir de laquelle l’ego est précipité.

Virginité de la sensation : la nature de la sensation en tant que contact direct entre l’individu et une chose, sans nominalisme, proposition ou conception.

L’expérience : tout un domaine particulier de l’homme, une manière spéciale de vivre, une façon de concentrer son attention sur une chose, son moule unique, la base du tout, la vraie réalité d’une personne. La maturation du sens éveillé jusqu’à ce qu’il soit capable de le couronner d’un seul mot. L’ensemble de l’expérience est le sens d’une personne, qui fait l’expérience de l’expérience, ou notre réalité est en fait l’expérience elle-même, c’est-à-dire moi-même. Le monde de l’expérience n’est que subjectif, mais il est relié aux autres par le langage. Lorsqu’une situation d’expérience est donnée à un individu, c’est en l’exprimant avec des mots que l’expérience individuelle prend un sens universel. Le contenu est continuellement décomposé et reformé en quelque chose de nouveau. Aussi, l’expérience forme une personne, et de plus, la relation composée de l’expérience forme deux ou plusieurs personnes. D’autre part, lorsque l’on s’engage véritablement dans l’expérience, un état de véritable objectivité et de désintéressement subjectif émerge. (La définition de l’expérience donnée par Mori est un concept unique, différent de l’expérience à laquelle se réfèrent les philosophies conventionnelles telles que l’empirisme).

Solitude : l’ambivalence d’être libre, d’avoir un moi libre et indépendant. La solitude est ce qui conditionne l’expérience. Dans la solitude, chacun doit retrouver la beauté et les idéaux normaux de l’art.

Solitude fondamentale : la mort, qui est la solitude fondamentale à l’intérieur de soi.

Expérience : ce qui a de la valeur dans l’expérience est accumulé et fixé, et fonctionne dans le présent comme quelque chose de passé. Fixation de l’expérience à un point du passé. Pastification de l’expérience. La “forme fermée” de l’expérience.

Chose : une chose perçue ou un état mental avant qu’il ne soit verbalisé. En outre, il ne s’agit pas seulement d’une chose, mais de la dernière chose atteinte par notre raison. Les œuvres musicales et littéraires sont une chose globale.

Langage : nous devons utiliser un langage commun et non original pour décrire l’expérience originale d’un individu. L’expérience nous donne également le contenu de notre langage. Grâce à un langage commun, l’expérience individuelle devient universelle à travers ce langage. Les mots deviennent des mots réels à travers des expériences qui correspondent aux conditions d’une histoire de conscience d’obstacle et de résistance qui se produit entre la chose et le moi.

Définition : le monde subjectif et pur de l’expérience est relié par le mot au monde communautaire et universel des mots.

Pensée : les mots acquis par l’expérience forment eux-mêmes un système. Il est possédé par tous les hommes. Pilier de la pensée et de l’action.

L’incitation : l’appel de l’Autre qui rend toute expérience possible.

Incitation interne : une culture ou un monde déjà existant qui précède l’individu et l’oriente dans une certaine direction. Les orientations traditionnelles et sociales nous poussent à nous dépasser, à sortir de nous-mêmes. L’envie ou la motivation de “faire quelque chose” avant l’expérience.

Coagulation : l’acte par lequel l’expérience définit toujours le nominal d’une nouvelle manière. C’est ainsi que l’expérience devient expérience.

Transformation : non seulement la transformation du monde, mais aussi la transformation de l’expérience individuelle, qui ouvre de nouvelles perspectives. La définition d’un mot dans notre esprit est approfondie et un sens nouveau et plus profond lui est ajouté. La transformation entraîne également de nouvelles transformations.

Le temps : la seule chose terminale. Nous nous approchons d’une fin à travers le temps.

Transformation/transformation : changements qui se produisent dans nos sens et notre constitution au fur et à mesure que nous vivons notre vie dans le temps.

Réalité : faits perçus par l’expérience. Il ne s’agit pas d’une réalité subjective.

Dignité : ce qui fait de nous des êtres humains.

Personnalité : le fait qu’un être humain ait de la dignité. Personnalité. On ne peut pas démanteler une personnalité en essayant de la démanteler par la psychologie ou l’éthique ; la personne que l’on démantèle est aussi une personnalité. Une expérience représente une personnalité. Les trois éléments de la personnalité dans les relations humaines sont l’hostilité, la responsabilité et la sympathie. La personnalité ne se forme pas à partir de l’expérience naturelle, mais à partir de l’expérience de la négociation avec les autres.

La mort : nous vivons pour mourir. Pour mourir de manière respectable à la fin, nous devons vivre de manière respectable.

La foi : la simple croyance en la réalité de Dieu, l’attitude que cette réalité exige de l’homme. (Avant de venir en France) Ce qui fait que l’expérience s’ouvre et avance vers l’avenir, vers un avenir inconnu, à l’insu de chacun. (Période parisienne)

traduction | Au voyage dans le Propos sur la vie de Kiyoshi Miki

Les gens partent en voyage par raisons diverses. Comme quelqu'un voyage pour affaires, un autre voyage pour inspection, pour repos, pour enterrement de parenté ou pour fêter marriage d’ami. Le voyage est divers comme la vie est diverse. Cependant, si on part voyage quelle raison, il y a le sentiment commun de voyage. Il y a le sentiment resemblant sur le voyage, à qui part en voyage pour un jour et à qui part en voyage pour un an. Comme, si la vie est diverse, mais il y a le sentiment commun dans toutes les vies, à une vie courte ou longe.

Partir en voyage est escapade de la vie quotidienne et fuir de la connection habituelle quotidienne. Le plaisir du voyage est plaisir de la libération comme ça. Même si un voyage poursuit la libération surtout, tous les gens ont sentiment de la libération dans le voyage. Certains de voyageur partent en voyage pour escapade par la vie. Même si un voyage poursuit la escapade surtout, tous les gens ont sentiment de la escapade dans le voyage. Je peux penser ces choses ont rapport à, plupart du cas, l’objet du voyage ce qui les gens préfère est la nature, et elle est la vie humaine, mais primitive et naturelle. Le sentiment de la libération ou la escapade dans le voyage accompagne toujours certain autre sentiment. Ainsi, plus ou moins, le voyage porte le sentiment du vagabondage aux tous les gens. La libération est le vagabondage aussi, et la escapade est le vagabondage aussi. Ici, il y a le sentimentalisme du voyage.

Le sentiment du vagabondage est certain sentiment du mouvement, et le voyage est né par le mouvement. Certainement, il est un sentiment du mouvement. Cependant nous sentons vivement le voyage comme le vagabondage quand nous restons à la auberge, n’est pas quand nous nous déplaçons par transports. Le sentiment du vagabondage n’est pas un sentiment du mouvement seul. Faire voyage est fuir d’une connection quotidienne, habituelle et stable, ainsi le sentiment du vagabondage vient de l’anxiété est né par cette raison. Le voyage est anxieux sans raison particulière. Tellement nous ne pouvons pas penser le sentiment du vagabondage sans le sentiment du lointain. Et dans le voyage, tous les voyages, nous sentions le lointain. Cet lointain n’est pas la distance comme qui est mesuré quelque kilomètres. Qui vas loin au travail par train de banlieue, mais il ne sent pas cette sorte de lointain, je pense. Pourtant, par exemple une distance est plus petit que cela, quand il voyage pour un jour, il éprouve cet lointain. Le sentiment du voyage est lointain, cet lointain fait du voyage le voyage. Tellement, nous sommes romantique plus ou moins dans le voyage. Cette sentiment romantique doit le sentiment de lointain. Demi de l’intérêt du voyage est crée par l’imagination comme ça. Je peux dire le voyage est une utopie de la vie. Cependant, le voyage n’est pas une chose lointaine seulement. Le voyage est trépidant. Si voyage facile qu’on parts avec un sac, il y a trépidation du voyage comme le voyage. Voyage qu’on monte train, voyage qu’on vient à pied, il y a trepidation du voyage. Le voyage est toujours loin, mais toujours trépidant. Donc le sentiment du vagabondage est venu. Le sentiment du vagabondage n’est pas seulement le sentiment du lointain. C’est loin et trépidant, donc, nous sentions le vagabondage. Une chose qui est évidement loin, pourquoi il est nécessaire on dois faire trépidant ? Ce n’est pas une chose loin, il pouvait une chose proche. Non, le voyage est toujours loin, en même temps, toujours proche. Puis, ce doit signifier le voyage est une processus. Parce que la voyage est processus, elle est le vagabondage. Le point de départ n’est pas le voyage, le point d’arrivée n’est pas le voyage, le voyage est continuellement une processus. Qui mets en question comme arriver seulement la destinaiton et ne peut pas éprouver processus, est dit qu’il ne connaît rien le plaisir du voyage. Dans la vie quotidienne, toujours, nous mettons en question la destination et le résultat seules. C’est la substance du agir et de la pratique. Tellement, le voyage est une chose de recueillement. Dans le voyage, nous sommes toujours observateurs. Le trait du voyage est nous pouvons être recueillis ou méditatifs purement par nous nous évadons de la vie quotidienne pratique. On peut penser le sens du voyage à la vie personnelle par ce trait.

Pourquoi est-ce que le voyage est lointain ? Parce que il se dirige vers choses inconnues. Dans l’experience quotidienne, on sent plus éloigné que un fait quand on marche un chemin inconnu pour la première fois. Provisoirement, si toutes les choses étais connu bien, il n’y aurait pas essentiellement le voyage, mais il y a aller au travail quotidien. Le voyage est une chose que les gens sont tiré par choses inconnues. Donc, le voyage accompagne le sentiment du vagabondage. On ne pourra pas toutes les choses sont bien connues. Parce que, processus est principal, mais destination et résultat ne sont pas en question. Gens qui fait attention à processus trouvent quelque nouvelle chose ou chose inattendue. Le voyage est une chose s’evade de la forme de vie habituelle, comme ça, nous avons eu la vue neuve et moderne plus ou moins, ainsi nous pouvons trouver choses neuves en tant que la chose matérielle plus ou moins. Dans la voyage, on senti nouveau une chose nous est familier habituellement. Un intérêt de la voyage n’est pas voir choses inconnues et neuves pour la première fois, — y a-t-il choses neuves complètement dans le monde ? — plutôt, il est dans un point que s’étonne et revoir choses ce que nous pensons évident, habituel et déjà connu. Notre vie quotidienne est pratique, et nous nous intéressons seulement à la destination et le résultat, en plus, supposons autre choses, choses à mi-chemins et processus que faits déjà connues. Homme qui va au travail habituellement ne pourra pas se rappeler qu’il rencontrait qui est faisait quoi entre de sa maison au bureau. Ainsi nous pouvons devenir purement réflexif et méditatif dans le voyage. Homme qui voyage est homme du regard, n’est pas homme de l’action. Comme ça, devenir réflexif et méditatif pur, nous sentons nouveau émerveillement ou curiosité à choses déjà connues habituelles et choses évidentes comme choses déjà connues. Par cette raison, le voyage est expérience et éducation.

On dit souvent que la vie est voyage. Cette opinion est une sensation réelle ce qui tout le monde senti plusiurs fois, ce n’est pas la peine qu’on citer « La Sente étroite du bout-du-monde » de Basho Matsuo. Notre sensation pour la vie se resemble à la sensation pour le voyage. C’est pourquoi ?

« Par où et vers où » est une question fondamentale de la vie. Par où vient-on, et où vient-on ? C’est l’énigme éternelle et fondamentale de la vie. Tant que c’est correct, notre sensation de vie comme nous sentons que la vie semble que le voyage, ne changera pas. Dans la vie, où allons-nous donc ? Nous ne connaissons pas. La vie est vagabondage aux choses inconnues. On dit que notre destination est le mort. Au moins, tout le monde ne peut pas répondre clairement ce qui est le mort. La question de « vers où », finalement, faire nous questionner « par où ». Consideration au passe naît par consideration au avenir. Dans le voyage vagabondage, on accompagne toujours nostalgie ambiguë ce qui on prends clairement. La vie est loin, et la vie est trépidant. La route de la vie est loin mais près. Parce que le mort s’approche petit à petit de notre vies. Pourtant l’humain ne cessera jamais de rêver dans la vie comme ça. Nous vivrons notre vies d’en suivront notre imaginations. Touts les gens sont plus ou moins utopiens. Le voyage est visage de la vie. Dans le voyage nous nous écartons des choses quotidiennes, et sommes réfléchi purement, ainsi nous avons nouveau sentiment pour la vie ce qui nous supposons évident et déjà connu dans la vie quotidienne. Nous sommes savouré la vie par le voyage. J’ai déjà dit ces sentiments du lointain, de la proche et du mouvement, que ne participe pas au lointain, à la proche et au mouvement objectives. On rencontre soi-même dans le voyage. Dans le voyage qu’on passe dans la nature, cependant on rencontre soi-même sans cesse. Le voyage n’est pas dehors de la vie, mais le voyage est le visage de la vie même.

J'ai jégà dit, les gens font le voyage pour chercher de la délivrance. Le voyage lui délivre surement. Mais, c’est une erreur que vous pensez il est libre vraiment. La délivrance est liberté d’une chose, cette liberté est seulement une liberté passive. En voyage, quiconque deviens curieux et capricieux. Le voyage fait hommes aventurés plus ou moins, mais cette adventure est curiosité et caprice. Le sentiment du vagabonde dans le voyage existe du bas de cette curiosité. Cependant, la caprice n’est pas la véritable liberté. Homme qui suit seulement curiosité et caprice ne peut pas faire l’expérience dans le voyage. Le voyage fait activer notre curiosité. Mais la curiosité est différente du vrai esprit de recherche et la soif de connaissance. La curiosité est la caprice, on passe à la suite sans cesse et ne regarde pas en se poser une place. Sans se poser une place et entrer profondément dans une chose, comment connaît-on une chose vraiment ? Une chose existe dans le bas de la curiosité est le sentiment du vagabonde même. Aussi le voyage fait l’homme sentimental. Cependant, baigner seulement sentiment, il abouti qu’on ne connaît profondément rien et on n’a rien le propre sentiment. La vraie liberté est liberté dans le chose. Ce n’est pas mouvement seul, s’arrêter en mouvoir et mouvoir en s’arrêter. C’set mouvement aussi immobilité, et immobilité aussi mouvement. On dit il y a le vert de plus parts ce qui l’homme va. Ce mot est plus sentimental, mais qui atteint cette valeur seul éprouve le voyage vraiment. Qui peut éprouver le voyage est l’homme vrai libre. À mesure qu’on fait voyage, l’homme sage deviens plus sage, l’homme stupide deviens plus stupide. Vous devez bien connaître comment personage d’un homme qui a relation quotidienne avec vous, quand vous faites le voyage avec lui. L’homme fait le voyage de chaque homme. L’homme vraie libre dans le voyage est l’homme vraie libre dans la vie. La vie même est vraiment le voyage.

Détails sur le produit

Propos sur la vie
Kiyoshi Miki
Libraries Kadokawa-Sophia, Tokyo, Japon, 25 mars 2017
225 pages, JPY 660
ISBN 978-4-04-400282-4

Contenu

  • Propos sur la vie
  • La philosophie qui n'est rancontré jamais
  • Pour mes enfantes petites
  • Commentaire par Ichiro Kishimi

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« Le Propos sur la vie » de Kiyoshi Miki

Philosophy / Philosophie

traduction | À la condition humaine dans le Propos sur la vie de Kiyoshi Miki

Par n’importe quelle méthode, plus je me concentre à moi, plus je sens que je flotte sur quelque chose. Sur quelle chose flotte-je ? Je peut dire seulement sur le néant. Soi-même est un point dans le néant. Ce point peut réduire sans limite. Mais, il devient plus petit, il ne s’identifie pas avec le néant sur qui soi-même flotte. La vie n’eat pas le néant, plutôt le néant est la condition humaine. Cependant, comme une vague ou une écume n’est pas existé sans le mer, nous ne pouvons pas penser sur l’humain sans cette condition. Une idée « la vie est comme une écume. » est faute au cas où on ne penserait pas de une vague et une mer comme la condition d’une écume. Mais aussi, l’humain fait corps avec le néant de même que une écume et une vague font corps avec une mer. La vie est pouvoir ramasse du néant. Elle est pouvoir de formation par le néant. Une chose est formée par ramasser le néant n’est pas le néant. Le néant et l’humain sont différents comme la mort et la vie. Mais le néant est une condition humaine.


On peut penser autres plusieurs choses comme une condition humaine. Par exemple, cette chambre, ce bureau, cette livre ou la connaissance donné par ce livre, ou bien le jardin de ce maison, entière nature, ou ma famille et entière société,,, et le monde. Ces choses exprimées par quelque mots, on peut diviser aux innombrables éléments. Ces innombrables éléments concernent réciproquement. Aussi, sur l’humain, son corps et son esprit peuvent sont divisés infiniment à une chose du même ordre de ses éléments. Ainsi, pour une cellule autres toutes cellules sont une condition, pour un cœur autres touts cœurs sont une condition. Ces conditions concernent autres toutes conditions. Poursuivre diviser infiniment de cette façon, je pense on ne peut pas découvrir quelque chose humaine excepté sa condition. Je regarde soi-même est décomposé en un élément pareil que éléments du monde. Mais, cependant c’est certain je existe en tant que une chose diffère du monde. L’humaine et la condition humaine sont différentes bien. Comment est-ce affaire possible ?

La matière est la condition humaine, qui arrive par elle se montre cette matière pour la première fois dans le néant. C’est-à-dire, le monde — je lui pense comme il est grand à l’infini ou petit à l’infini — le néant est son a priori par il est la condition humaine. Le chose du monde est la condition humaine comme le chose est limitée par le néant au tant que le condition fondamentale du humain, le chose lui-même peut aboutir au néant, non, le chose au tant que le néant. Pour cette raison, d’abord, l’humain est décomposé à l’infini en un élément aussi le monde, relation entre ses éléments, mais distinctions peuvent exister à l’infini entre l’humain et le monde, et entre l’humain et la condition humaine. Si le néant n’était pas la condition de la condition humaine, comment-puisse mon soi-même être une chose divisée fondamentalement par les éléments du monde ?


Le néant est la condition humaine ou la condition comme une chose de la condition humaine, ainsi je peux dire la vie humaine est la formation. Le soi est pouvoir de formation, et l’humain est une chose formée, non seulement, le monde aussi peut avoir réellement pour la premiers fois le sens du milieu à la vie humaine, comme une chose formée. La vie fait forme comme une forme à l’extérieur de sa propre initiative, et donne une forme à elle-même par elle donne une forme à une chose. La formation comme ça est possible que la condition humaine est le néant. Le monde est décomposé en éléments, même, l’humain est décomposé dans le monde élémentaire, ainsi nous apercevons relations entre les éléments, et un élément lui-même peut se décompose en une relation. Nous pouvons définir ce relation par quelques règles. Mais, au monde comme ça, la vie ne peut pas être formée. Pourquoi ? La vie n’est ni règle abstraite ni relation seule ni somme ou produit de relation, mais la vie est forme, ainsi on ne peut pas penser la forme dans le monde comme ça. On doit pense la formation par autre côte, c’est-à-dire par le néant. La formation est toujours formation par le néant. On peut entendre seulement la formation de forme, les relations entre formes et le changement de une forme à autre forme, par le bas comme le néant. Il y a le caractère particulier essentielle du forme.


Les philosophes anciennes pensent par concepts substantiels, Les philosophes modernes pensent par concepts relationnels ou fonctionnels (de fonction mathématique). La nouvelle pensée doit être une pensée de forme. Le forme n’est ni substance seule ni relation ou fonction seules. C’est-à=dire, le forme est synthèse des deux. On peut penser une forme où une concept relationnel et une concept substantiel ses unir, ou où une concept fonctionnel et une concept substantiel ses unir.


Les gens passés vivaient dans le monde limité. Cette zone est ce qui on peut regarder d’un bout à l’autre. Ils comprends outil qu’ils emploient fait par quelqu’un, et ce technique est tellement. Aussi sur la nouvelle et la connaissance ce qu’il connais, on connaît ses sources et combien de confiance ce qu’hommes possèdent. Comme ça, la condition de la vie et le milieu des hommes était limitées, et ses formes était visible, ainsi l’homme lui-même, son esprit, sa expression et sa allure sont choses qu’ont formes précises. Donc l’homme passé a propre caractère.

Ainsi la condition humaine aujourd’hui est différent. Les contemporains vivent au monde illimité. Je ne connait pas un outil je utilise de qui quelqu’un fait, est je ne connait pas que nouvelles et connaissance sur qui je m’appuie apparent par quelque part.. Toutes les choses ne sont pas seulement anonyme. Toutes les choses sont amorphe. Les contemporains eux-mêmes vivent en la condition humaine comme ça, devient anonyme, amorphe et sans caractéristique.

Or le monde des contemporains est illimité, en fait, il a causé par la consequence d’être limité. Choses de tous les coins du monde sont concernées par le développement de la circulation. Je suis relié à choses invisibles et innombrables. Choses isolements sont devenus choses très limitées par entrer aux relations innombrables. Choses substantielles sont décomposées en relations et devenaient choses limitée le plus strictes. Je doit dire le monde passé étais illimité plutôt contre ce monde limité. Mais, cependant, le monde aujourd’hui est illimité. Il est limité relationnels ou fonctionnels, ou encore il est limité tout son possible comme ça, par conséquence, il est devenu illimité comme forme. Il y a de complexité particulière des contemporains dans cette illimitation était surgi en fait par la conséquence de développement de la méthode du limitation particulière.

Le plus grande problème des contemporains comment nous faisons forme par une chose sans forme. Cette problème n’est pas résolu par la position immanente. Parce que cette condition illimitée était surgi par par la conséquence que la limitation se développe en fait. La significance des toutes pensées transcendantales contemporaines existent là. Il faut la formation est la formation par le néant, et la formation au tant que l’art au-delà la science. Je peut dire il n’y a pas de salut, jusqu’à la conception du monde artistique en plus formative et sans theoria devra dominant.

Par la confusion contemporaine, toutes les choses sera en confondu. Choses qui sont opposées deviens être confondu est plus proche en réalité que choses qui sont opposées deviens être unifiées. Par cette confusion, nouvelle forme apparaîtra. La génération de la forme est la dialectique de confusion plutôt que la dialectique de forme. La logique d’imagination, je dis, deviendra caractérisée comme la dialectique de confusion. La confusion est combinaisons des choses indéfinies, fondement de cette caractéristique indéfinie est l’existence du néant. Toutes les choses sont par le néant, et chacun a particulièrement un néant, ainsi nous pouvons penser la confusion. Non seulement le néant possède l’être générale, mais aussi chacun possède un être particulier. La logique de confusion doit être formation par le néant. La philosophie ancienne qui disait formation par le chaos du cosmos, inclus la vérité profonde. C’est grave que on comprends ce sens de sa propre initiative à l’infini.

Détails sur le produit

Propos sur la vie
Kiyoshi Miki
Libraries Kadokawa-Sophia, Tokyo, Japon, 25 mars 2017
225 pages, JPY 660
ISBN 978-4-04-400282-4

Contenu

  • Propos sur la vie
  • La philosophie qui n'est rancontré jamais
  • Pour mes enfantes petites
  • Commentaire par Ichiro Kishimi

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